Toujours sourire…
Comme il naît un sourire au regard d’un enfant,
Je ne veux pas d’un jour sans un rire un cœur triste,
Car de l’esprit d’un clown ce véritable artiste
Qui d’une âme enjouée à sa fin s’en défend,
Celui qui de sa voix promet une rapsodie,
Il chante encore au son c’est un exécutant,
Je resterai bien humble envers la perfidie
Le monde est ainsi fait qu’il n’est peu consultant.
À traverser le temps, griser en comédie,
Qu’importe au vent l’instant qui se dépeint heureux,
La vie étant bien courte et son sort ténébreux
Offrant des goûts amers à une tragédie.
Que ne vous sollicite à ce défi tentant !
Venant de la mémoire en ce bruit éclatant !
N’ayez aucun regret blessant un gai visage,
Pensez qu’il est bien long le chemin de l’enfer,
Sans un sourire au fond du cœur rougit le fer
Songez y braves gens comme un bien doux présage.
Lorsque je puiserai du fond de tout mon être,
J’exulterai ce souffle aux rires comme une lettre,
La dernière lueur puisqu’un sourire offert.
Comme il naît un sourire au regard d’un enfant,
Je ne veux pas d’un jour sans un rire un cœur triste,
Car de l’esprit d’un clown ce véritable artiste
Qui d’une âme enjouée à sa fin s’en défend,
Celui qui de sa voix promet une rapsodie,
Il chante encore au son c’est un exécutant,
Je resterai bien humble envers la perfidie
Le monde est ainsi fait qu’il n’est peu consultant.
À traverser le temps, griser en comédie,
Qu’importe au vent l’instant qui se dépeint heureux,
La vie étant bien courte et son sort ténébreux
Offrant des goûts amers à une tragédie.
Que ne vous sollicite à ce défi tentant !
Venant de la mémoire en ce bruit éclatant !
N’ayez aucun regret blessant un gai visage,
Pensez qu’il est bien long le chemin de l’enfer,
Sans un sourire au fond du cœur rougit le fer
Songez y braves gens comme un bien doux présage.
Lorsque je puiserai du fond de tout mon être,
J’exulterai ce souffle aux rires comme une lettre,
La dernière lueur puisqu’un sourire offert.