Toi la vie, perfide diablesse.
Alors que j’étais plus que tristesse,
Résigné, ma douleur en herpès.
Tu as profité de ma détresse.
Je voulais tellement croire en toi,
A la fin du chemin de croix,
Avoir un peu d'estime de moi.
Trop belle était la proie.
Pourquoi toutes ces promesses ?
Mettre mon coeur en liesse,
Emplir mon âme d'allégresse,
De l'amour retrouver l'ivresse.
Quand je n'étais plus qu'émoi,
Tu as trouver de bon aloi,
De me replonger dans le désarroi,
Pour ta plus grande joie.
Toi la vie, perfide diablesse.
De ma douleur tu te repaisses
et me meurtrir tu ne cesses
Tu n'es que bassesse.
Désolé pour toi,
De vie à trépas,
Délivré de ton carquois,
Le dernier mot sera pour moi
Alors que j’étais plus que tristesse,
Résigné, ma douleur en herpès.
Tu as profité de ma détresse.
Je voulais tellement croire en toi,
A la fin du chemin de croix,
Avoir un peu d'estime de moi.
Trop belle était la proie.
Pourquoi toutes ces promesses ?
Mettre mon coeur en liesse,
Emplir mon âme d'allégresse,
De l'amour retrouver l'ivresse.
Quand je n'étais plus qu'émoi,
Tu as trouver de bon aloi,
De me replonger dans le désarroi,
Pour ta plus grande joie.
Toi la vie, perfide diablesse.
De ma douleur tu te repaisses
et me meurtrir tu ne cesses
Tu n'es que bassesse.
Désolé pour toi,
De vie à trépas,
Délivré de ton carquois,
Le dernier mot sera pour moi