T’es naïade ! (D’après Thébaïde de Lilasys)
Il essaie les étés que Con posent en soute,
Où se cachent de salubres chants c’est certain,
Le pro frondeur, frileuse comme Mona, austère car hautain,
Sûr comme stratège, si furieuse de conduite au Con goûte.
Il est si près de l’amer tune, corps pour danse,
Sa dame lézarde, là comme l’armure de l’élève,
Hurle pour un premier brasier signé d’imprudence,
Dédoublé d’étourderie dans une boue de fièvre.
Jules me dispense de la facture en me lisant l’histoire,
Contourner toutes tes pages comme ce crétin Con verdit sur banc,
Mes lettres doubles enchâssées dans ton élogieux dévidoir,
Contraintes de tirer des trêves de ton âtre tremblant.
Les puceaux égratignent les versets de ton grimoire,
Ils éclipsent tant des peines froides jugulées de maux,
Ma sœur apprécie ce qui en reste ! Riras à en choir,
Quel est ce vieux à débrancher qui anime les badauds ?
Il essaie les étés que Con posent en soute,
Où se cachent de salubres chants c’est certain,
Le pro frondeur, frileuse comme Mona, austère car hautain,
Sûr comme stratège, si furieuse de conduite au Con goûte.
Il est si près de l’amer tune, corps pour danse,
Sa dame lézarde, là comme l’armure de l’élève,
Hurle pour un premier brasier signé d’imprudence,
Dédoublé d’étourderie dans une boue de fièvre.
Jules me dispense de la facture en me lisant l’histoire,
Contourner toutes tes pages comme ce crétin Con verdit sur banc,
Mes lettres doubles enchâssées dans ton élogieux dévidoir,
Contraintes de tirer des trêves de ton âtre tremblant.
Les puceaux égratignent les versets de ton grimoire,
Ils éclipsent tant des peines froides jugulées de maux,
Ma sœur apprécie ce qui en reste ! Riras à en choir,
Quel est ce vieux à débrancher qui anime les badauds ?
Dernière édition: