Tel un Cygne… !
Au temps gris de l’hiver je pense au feu de bois,
La belle cheminée en pierres de l’enfance,
Dont son âtre vermeil flamboie en résidence
Cette âme admirative au cœur des contes rois ;
Elle ; assise penchée en sa main caressante,
Mon regard est figé toute ouïe à son essence
En sa langue elle chante en ses mots ce récit
Qui s’imprègne à jamais quand à rêver voici
Apparaît comme un Cygne…Éternelle présence… !
Dédié : À Maria-Dolores (ma grand-mère)
Au temps gris de l’hiver je pense au feu de bois,
La belle cheminée en pierres de l’enfance,
Dont son âtre vermeil flamboie en résidence
Cette âme admirative au cœur des contes rois ;
Elle ; assise penchée en sa main caressante,
Mon regard est figé toute ouïe à son essence
En sa langue elle chante en ses mots ce récit
Qui s’imprègne à jamais quand à rêver voici
Apparaît comme un Cygne…Éternelle présence… !
Dédié : À Maria-Dolores (ma grand-mère)