Ta voix raisonne dans mes nuits
Tant elle m’attire, et me caresse.
Le velouté de cette nuit
Tiraille mes sens et je me perds,
Laisse ta main suivre ma route
Et sortons tous les deux de ce désert.
La soie qui tapisse ton corps
Me fais passer de blanches nuits
J’aimerais m’accoster à ton port
Et fusionner nos deux vies
Mais le doute imparable
C’est inviter et à déchirer la toile
T’aimer, j’le crie sur les toit
Dans un écho sans fin
T’emmener où il n’existe pas de peine
Oh ! laisse moi t’envoler pour qu’on s’aime
Parfois je me dis cette lubie
Ronge mes sangs sans un retour
Homme en édifice c’est fini
J’ne veux plus pleurer à ce jour
De ces cri, de ce poids qui ont rempli ma maison
Oh ! j’veux plus de folies
Oh ! j’veux plus qu’on laisse
Et taire les bourreaux de ma prison
Tu vois, cette rencontre dans la nuit
Elle me déchire et me caresse
T’aimer si tu en as envie
Faire vivre et comprendre ton cœur si tendre
Si je sais que tu m’aimes
Tant elle m’attire, et me caresse.
Le velouté de cette nuit
Tiraille mes sens et je me perds,
Laisse ta main suivre ma route
Et sortons tous les deux de ce désert.
La soie qui tapisse ton corps
Me fais passer de blanches nuits
J’aimerais m’accoster à ton port
Et fusionner nos deux vies
Mais le doute imparable
C’est inviter et à déchirer la toile
T’aimer, j’le crie sur les toit
Dans un écho sans fin
T’emmener où il n’existe pas de peine
Oh ! laisse moi t’envoler pour qu’on s’aime
Parfois je me dis cette lubie
Ronge mes sangs sans un retour
Homme en édifice c’est fini
J’ne veux plus pleurer à ce jour
De ces cri, de ce poids qui ont rempli ma maison
Oh ! j’veux plus de folies
Oh ! j’veux plus qu’on laisse
Et taire les bourreaux de ma prison
Tu vois, cette rencontre dans la nuit
Elle me déchire et me caresse
T’aimer si tu en as envie
Faire vivre et comprendre ton cœur si tendre
Si je sais que tu m’aimes