Mes yeux, te regardent à t’en faire rougir,
Venant toucher ta peau, je te vois défaillir,
Désir contenu de cet instant fugace,
Envie voluptueuse embaumant l’espace,
Quand délicatement j’effleure ta nuque,
Que dans ton corsage, mes yeux y reluquent,
Une forte émotion t’envahit le corps,
Tu trembles dans ce bar au tamisé décor,
J’écarte de ton épaule, la bretelle,
Découvrant sur ton sein, la noire dentelle,
Je te sens te crisper sous ma main brûlante,
Ta chair se prend d’une secousse violente,
Et je m’aperçois que ta voisine de bar,
Suce ses doigts tout recouverts de ton nectar.