Je contemplerai l’Olympe de ta peau
Sur l’aigue-marine de tes yeux aux nuances opalines,
Laissant se dessiner les collines fines et coralines
De ces fleurs aux nuances pourpres habillant la soie de tes reins.
Sur les cascades de jasmins ornant le bouquet de tes seins,
Les jours passent sur l’œillade libertine, sur la corolle charnue de tes lèvres,
Mêlant la lune à tes lagunes,
Sur l’écume de tes caresses.
Sous l’évanescence, l’alliance de tous ces sens,
Illuminant le phare de l’insouciance de ton éloquence.
Mon âme s’éveille sous l’errance de tes essences,
Laissant mes lèvres impatientes émerger sur la faïence de tes lèvres,
Abolissant mes croyances, ma conscience sur la romance d’une fleur,
Au parfum, au nectar divin, où se mêle excellence sur l’ambiance de ta convenance.
La noblesse prend un goût de miel sur les gestes fébriles de ta douceur,
Faisant de toi la déesse de l‘Edesse sur la nuit de tes eaux.
Je ne serai que l’émissaire célibataire de mes rêves,
Qui déposera à tes pieds,
Pas une chimère, un être éphémère,
Mais bien l’amour sans mystère,
Loin de la misère des déserts,
Des cœurs réfractaires.
Sur le désert de tes lèvres, de ton regard,
Je ferai de toi mon sanctuaire, mon monastère,
Afin d’apprendre les mots et les règles
Sur le cortège de ton ministère.
Je te laisserai titulaire de mon corps
De mes pensées, sur la terre salutaire de mes vers,
De ton univers où coule le mélange de tes louanges,
Sur l’encre de ta peau le long de tes branches.
L.Deléglise
Sur l’aigue-marine de tes yeux aux nuances opalines,
Laissant se dessiner les collines fines et coralines
De ces fleurs aux nuances pourpres habillant la soie de tes reins.
Sur les cascades de jasmins ornant le bouquet de tes seins,
Les jours passent sur l’œillade libertine, sur la corolle charnue de tes lèvres,
Mêlant la lune à tes lagunes,
Sur l’écume de tes caresses.
Sous l’évanescence, l’alliance de tous ces sens,
Illuminant le phare de l’insouciance de ton éloquence.
Mon âme s’éveille sous l’errance de tes essences,
Laissant mes lèvres impatientes émerger sur la faïence de tes lèvres,
Abolissant mes croyances, ma conscience sur la romance d’une fleur,
Au parfum, au nectar divin, où se mêle excellence sur l’ambiance de ta convenance.
La noblesse prend un goût de miel sur les gestes fébriles de ta douceur,
Faisant de toi la déesse de l‘Edesse sur la nuit de tes eaux.
Je ne serai que l’émissaire célibataire de mes rêves,
Qui déposera à tes pieds,
Pas une chimère, un être éphémère,
Mais bien l’amour sans mystère,
Loin de la misère des déserts,
Des cœurs réfractaires.
Sur le désert de tes lèvres, de ton regard,
Je ferai de toi mon sanctuaire, mon monastère,
Afin d’apprendre les mots et les règles
Sur le cortège de ton ministère.
Je te laisserai titulaire de mon corps
De mes pensées, sur la terre salutaire de mes vers,
De ton univers où coule le mélange de tes louanges,
Sur l’encre de ta peau le long de tes branches.
L.Deléglise
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