Prend ma main, cette nuit c'est peut être la fin,
Prend ma main, et attend jusqu'à demain,
Sert la bien, cette force qui me convient si bien,
Sert la bien, l'espoir sur un nouveau chemin,
On a tous un jour étés abandonnés,
Cette solitude, une note effrennée,
Ce manque que l'on a dû supporter,
Cette vision, de notre vie brisée,
Cette duretée que l'on a développée,
Et ce silence que l'on a su écouter...
Tu la sens ? Cette chaleur sur ton corps gercé.
Tu la vois ? Cette merveille, devant toi enchantée.
Tu l'entends ? Ce tintement en haut de ton coeur amoché.
C'est juste, cette femme qui t'a enlevé à mon coeur abîmé,
Avec elle tu es serein, pourtant tu ne lâches pas ma main,
Avec elle tu as un destin, être avec moi n'est donc pas saint,
Avec elle tu t'entends bien, avec moi, tu restes incertain,
D'elle tu restes si loin, être ensemble est devenu un besoin,
Tu reviens, après m'avoir infligé la sequelle du malheur,
Tu ne la vois donc pas ? devant toi je la traine,
Je suis devenue une épave, là, sans coeur,
Avec pour toi une immense haine, le pardon me ferait trop de peine,
Part ! Tu l'as cherché, ce silence, qui dans nos coeurs résonne,
Part ! Tu l'as trouvée cette solitude, où je m'époumonne,
A crier ton nom quand personne ne l'entonne,
A te bannir quand la faussetée de ma voix sonne...
Sur ce chemin, tu m'as laissée,
Tu m'as abandonnée,
Sur ce chemin tu m'as retrouvée,
Tu as voulu m'aimer,
Cause de cette souffrance inutile, j'ai refusé.
On a tous étés abandonnés,
Ils ont tous voulus nous retrouver,
Mais c'était trop tard pour nous aimer,
Notre malheur nous était approprié...
Prend ma main, et attend jusqu'à demain,
Sert la bien, cette force qui me convient si bien,
Sert la bien, l'espoir sur un nouveau chemin,
On a tous un jour étés abandonnés,
Cette solitude, une note effrennée,
Ce manque que l'on a dû supporter,
Cette vision, de notre vie brisée,
Cette duretée que l'on a développée,
Et ce silence que l'on a su écouter...
Tu la sens ? Cette chaleur sur ton corps gercé.
Tu la vois ? Cette merveille, devant toi enchantée.
Tu l'entends ? Ce tintement en haut de ton coeur amoché.
C'est juste, cette femme qui t'a enlevé à mon coeur abîmé,
Avec elle tu es serein, pourtant tu ne lâches pas ma main,
Avec elle tu as un destin, être avec moi n'est donc pas saint,
Avec elle tu t'entends bien, avec moi, tu restes incertain,
D'elle tu restes si loin, être ensemble est devenu un besoin,
Tu reviens, après m'avoir infligé la sequelle du malheur,
Tu ne la vois donc pas ? devant toi je la traine,
Je suis devenue une épave, là, sans coeur,
Avec pour toi une immense haine, le pardon me ferait trop de peine,
Part ! Tu l'as cherché, ce silence, qui dans nos coeurs résonne,
Part ! Tu l'as trouvée cette solitude, où je m'époumonne,
A crier ton nom quand personne ne l'entonne,
A te bannir quand la faussetée de ma voix sonne...
Sur ce chemin, tu m'as laissée,
Tu m'as abandonnée,
Sur ce chemin tu m'as retrouvée,
Tu as voulu m'aimer,
Cause de cette souffrance inutile, j'ai refusé.
On a tous étés abandonnés,
Ils ont tous voulus nous retrouver,
Mais c'était trop tard pour nous aimer,
Notre malheur nous était approprié...