( aux femmes intelligentes , puissiez-vous deviner
La raison pour laquelle, ceci vous est livré...
Un indice cependant pour ne pas être confondu
Pour un psychopathe et être pendu ! :
"A l'instar d'Amantine à qui l'on attribut DUPIN
Pour nous aMUSSET Alfred lui répondu serin")
J’ai envie par-dessus tout de sentir
La scène assassine d’une étreinte macabre qui vient bleuir
Votre chaire gorgée de vie qui coule et qui fuit,
De vos veines cisaillées, ruisselantes et meurtries.
Entre mes doigts crochetés. Je glisserai
Une lame tranchante longuement aiguisée, et j’y mettrai
Mon ardeur la plus sûre, pour vous entendre crier ;
J’écarterai votre chaire, arracherai cette peau, tout en vous regardant hurler,
De rage ou de raison, de douleur qui sait !?
Voir votre vie ainsi filer, impose la réflexion, et éclaire les idées.
Soyez certaine d’être assourdi et complètement vidée.
Car la vie n’est présente que lorsque la mort vient frapper !
Et de n’avoir de repos que lorsque je serai satisfait :
De cette scène macabre tout de rouge tachée ;
De vous avoir rompu et complétement épuisée.
Vous saurez ainsi de quoi je suis fait.
Ma valeur à l’assaut n’a pas d’autre prétention :
Que de nourrir ma folie car je n’ai plus de raison.
Que le désir d’un travail bien fait,
Puisse être le sauveur d’une agonie planifiée,
Et le contentement de vous avoir fait jouir
D’un lent trépas sadique qu’il fallait bien préparer.
D’être maintenant celui à qui il faut dire :
J’ai compris la grande valeur de la vie,
Reviens quand tu veux pour me faire souffrir
Je stoppe là, à jamais mes maux infinis
La Vie est trop courte ! Pour ne pas profiter
-De ce qu’elle offre d’amour, de liberté -
De sa rage et de tous ses délices.
Merci de cette fin révélatrice,
Même si elle a été dans la douleur et les sévices.
Merci mon bourreau de ce salutaire supplice.
(
La raison pour laquelle, ceci vous est livré...
Un indice cependant pour ne pas être confondu
Pour un psychopathe et être pendu ! :
"A l'instar d'Amantine à qui l'on attribut DUPIN
Pour nous aMUSSET Alfred lui répondu serin")
J’ai envie par-dessus tout de sentir
La scène assassine d’une étreinte macabre qui vient bleuir
Votre chaire gorgée de vie qui coule et qui fuit,
De vos veines cisaillées, ruisselantes et meurtries.
Entre mes doigts crochetés. Je glisserai
Une lame tranchante longuement aiguisée, et j’y mettrai
Mon ardeur la plus sûre, pour vous entendre crier ;
J’écarterai votre chaire, arracherai cette peau, tout en vous regardant hurler,
De rage ou de raison, de douleur qui sait !?
Voir votre vie ainsi filer, impose la réflexion, et éclaire les idées.
Soyez certaine d’être assourdi et complètement vidée.
Car la vie n’est présente que lorsque la mort vient frapper !
Et de n’avoir de repos que lorsque je serai satisfait :
De cette scène macabre tout de rouge tachée ;
De vous avoir rompu et complétement épuisée.
Vous saurez ainsi de quoi je suis fait.
Ma valeur à l’assaut n’a pas d’autre prétention :
Que de nourrir ma folie car je n’ai plus de raison.
Que le désir d’un travail bien fait,
Puisse être le sauveur d’une agonie planifiée,
Et le contentement de vous avoir fait jouir
D’un lent trépas sadique qu’il fallait bien préparer.
D’être maintenant celui à qui il faut dire :
J’ai compris la grande valeur de la vie,
Reviens quand tu veux pour me faire souffrir
Je stoppe là, à jamais mes maux infinis
La Vie est trop courte ! Pour ne pas profiter
-De ce qu’elle offre d’amour, de liberté -
De sa rage et de tous ses délices.
Merci de cette fin révélatrice,
Même si elle a été dans la douleur et les sévices.
Merci mon bourreau de ce salutaire supplice.
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