Non ma chère amie, tu n'es guère fautive, cependant il faudrait que tu tentes avec délicatesse, et grand amour, et t'armais avec une patience sans fin, pour que tu puisses avec l'aide de Dieu recoller ce qui a été brisé, et comme tu es une femme pleine de capacités, j'en suis sûr que tu parviendras, et tu sauras que tenter c'est aussi une victoire sur soi, et beaucoup de travail, et les fruits qui en découlent ne seront que plus beaux et de bons goûts, que Dieu guidera ta besogne, je t'embrasse tendrement .