Bienvenu sur cette terre appelée Spira,
Bienvenu ici bas, où reigne la magie,
Bienvenu, là, où le dieu Yeon régit.
Les Hommes se demande quand finira
Cette ère de désespoir emmenée par "Sin"
- Symbole de péchés et de la peur des gens-
C'est un pouvoir destructeur qui parfois fascine,
Qui entraine des personnes dans le tourment.
C'est un monde où subsiste encore les invoqueurs,
Qui sont le maigre espoir des gens de cette terre
Envahie de monstres tristes et qui désespérent.
Il sacrifient tout : leur corps, leur âme, leur coeur,
Pour protéger les vivants et sauver les morts.
Les morts sont rarement en paix; ils sont jaloux
De ceux encore vivants, et envient leur sort.
Leur haine les transforme tous en monstre fous.
Ces monstres peuvent aussi être des souvenirs.
Des rebus de souvenirs volés, oubliés
De tous. Ces souvenirs sont simplement niés,
Et se transforment en monstre pour ne pas ternir.
Dans ce monde aux couleurs éclatantes et vives,
Je suis l'un des prochains invoqueurs sacrifiés.
A chacun de mes passages les gens revivent,
Redécouvrent l'espoir dans leur vie mortifiée.
Guados, Al Bhed et Humains se réfugient
De leur côté, tentant de vivre comme ils peuvent,
Tout en essayant de survivre à cette épreuve.
Et par désespoir, prient une fausse effigie.
Mon pélerinage apportera une paix
Tranquille. Mais qui, certes, ne durera pas.
Et pourtant le calme dans une vie se paie
Par le sacrifice d'une autre : le trépas.
Bienvenu sur cette terre où les apparences
De cette contrée accueillante sont trompeuses,
Où la religion et la paix sont menteuses.
Mais cette terre symbolise l'espérence.
Inspirée d'une saga
Bienvenu ici bas, où reigne la magie,
Bienvenu, là, où le dieu Yeon régit.
Les Hommes se demande quand finira
Cette ère de désespoir emmenée par "Sin"
- Symbole de péchés et de la peur des gens-
C'est un pouvoir destructeur qui parfois fascine,
Qui entraine des personnes dans le tourment.
C'est un monde où subsiste encore les invoqueurs,
Qui sont le maigre espoir des gens de cette terre
Envahie de monstres tristes et qui désespérent.
Il sacrifient tout : leur corps, leur âme, leur coeur,
Pour protéger les vivants et sauver les morts.
Les morts sont rarement en paix; ils sont jaloux
De ceux encore vivants, et envient leur sort.
Leur haine les transforme tous en monstre fous.
Ces monstres peuvent aussi être des souvenirs.
Des rebus de souvenirs volés, oubliés
De tous. Ces souvenirs sont simplement niés,
Et se transforment en monstre pour ne pas ternir.
Dans ce monde aux couleurs éclatantes et vives,
Je suis l'un des prochains invoqueurs sacrifiés.
A chacun de mes passages les gens revivent,
Redécouvrent l'espoir dans leur vie mortifiée.
Guados, Al Bhed et Humains se réfugient
De leur côté, tentant de vivre comme ils peuvent,
Tout en essayant de survivre à cette épreuve.
Et par désespoir, prient une fausse effigie.
Mon pélerinage apportera une paix
Tranquille. Mais qui, certes, ne durera pas.
Et pourtant le calme dans une vie se paie
Par le sacrifice d'une autre : le trépas.
Bienvenu sur cette terre où les apparences
De cette contrée accueillante sont trompeuses,
Où la religion et la paix sont menteuses.
Mais cette terre symbolise l'espérence.
Inspirée d'une saga