Souvenirs
J’ai cru voir un ange, j’y ai vu le diable
L’animal était bien triste et misérable
Car en face de la guillotine industrielle
Qui vous envoi directement au ciel
Le malin ne fait plus peur à la populace
Sanson, perspicace a remplacé sa hache
Le roi est raccourci par un frais matin de janvier
Sa femelle, en octobre, n’aura rien à lui envier
Mais cela, il nous semble, n’est que passé.
Et pourtant, rude est la triste réalité.
L’histoire se prend des hoquets infernaux
Répétant à souhait les mêmes scénarios
Une prospérité mal répartie créée rancœur
Au plus profond des misères touchant les cœurs
Quand par mépris de l’humble, l’idiot au pouvoir
Donne sans compter, aux nantis, pour sa gloire
Alors la fracture ouvre grandes les portes de l’enfer
Le suffisant pourra choir en son tombeau en terre
Ce n’est pas en faiblesse que monarque connaît billot
Mais par ignorance du pauvre fréquentant bistros
Loïc ROUSSELOT
J’ai cru voir un ange, j’y ai vu le diable
L’animal était bien triste et misérable
Car en face de la guillotine industrielle
Qui vous envoi directement au ciel
Le malin ne fait plus peur à la populace
Sanson, perspicace a remplacé sa hache
Le roi est raccourci par un frais matin de janvier
Sa femelle, en octobre, n’aura rien à lui envier
Mais cela, il nous semble, n’est que passé.
Et pourtant, rude est la triste réalité.
L’histoire se prend des hoquets infernaux
Répétant à souhait les mêmes scénarios
Une prospérité mal répartie créée rancœur
Au plus profond des misères touchant les cœurs
Quand par mépris de l’humble, l’idiot au pouvoir
Donne sans compter, aux nantis, pour sa gloire
Alors la fracture ouvre grandes les portes de l’enfer
Le suffisant pourra choir en son tombeau en terre
Ce n’est pas en faiblesse que monarque connaît billot
Mais par ignorance du pauvre fréquentant bistros
Loïc ROUSSELOT