Tu me vois d'en haut, je t'aime Maman,
Instinctivement le ciel je regarde
Les papillons voltigent au firmament
Des petits mots avec toi je bavarde
On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux
Dans la cité la vie était douceur
Simple, décontractée loin de la ville,
Nos regards devenant paroles candeur,
D'une infinie tendresse juvénile.
Dans mes cahiers d'écolier
Images objets familiers
Sur toutes les pages j'écrivais ton nom
Dessinant le sterne, puis l'hirondelle
Les bateaux, déjà naissait l'ambition,
Miroirs des mes passions éternelles.
Au rythme de la marée
Les chaînes ce sont brisées
La lune en berne, l'horizon dans l'eau
Pâle comme le ciel du flot obscur et sombre
Mes rivages désertés j'ai viré au guindeau
Pleuré toute mon âme en la pénombre.
On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux
Je t'aime maman...
Instinctivement le ciel je regarde
Les papillons voltigent au firmament
Des petits mots avec toi je bavarde
On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux
Dans la cité la vie était douceur
Simple, décontractée loin de la ville,
Nos regards devenant paroles candeur,
D'une infinie tendresse juvénile.
Dans mes cahiers d'écolier
Images objets familiers
Sur toutes les pages j'écrivais ton nom
Dessinant le sterne, puis l'hirondelle
Les bateaux, déjà naissait l'ambition,
Miroirs des mes passions éternelles.
Au rythme de la marée
Les chaînes ce sont brisées
La lune en berne, l'horizon dans l'eau
Pâle comme le ciel du flot obscur et sombre
Mes rivages désertés j'ai viré au guindeau
Pleuré toute mon âme en la pénombre.
On entend le ruisseau
Le chant des oiseaux
Je t'aime maman...