Au bord de la rivière quand tu m’eus touché
L’amour balbuta dans mon cœur
Le soir naissant sur la nuit sembla se coucher
Et j’eus soupiré : oh quel bonheur !
Tout devint plus beau que d’habitude
Les herbes, les arbres aussi sans doute
Même l’hirondelle changeat d’attitude
En volant plus bas sur la route.
Oh oui !elle fut tendre ta tendresse !
Je l’eus vue courir sur mon corps
Tel l’écho de la voix qui caresse
Mon âme et résonne en mon for.
Je te vis dans toutes les étoiles
Qui poussèrent dans les cieux
Tu fus ici et là royale,
Pittoresque peut être mieux.
Tu me touchas encore, mais si fort
Que je ne rêvai que toi ce soir là
Que ma muse vibra avec mon corps
Pauvre d’elle !, elle se brûla,
Tellement tu fus feu et braise
Et moi je pleurai de joie
Tellement ta chaleur rouge fraise
Combla mon émoi.
Je dormis sous le feulement de ton cœur
Avant que ne s’éteingna le soleil, tout joyeux,
Au bord de cette rivière où les fleurs
Me firent un lit bleu et soyeux.
Japhet.
L’amour balbuta dans mon cœur
Le soir naissant sur la nuit sembla se coucher
Et j’eus soupiré : oh quel bonheur !
Tout devint plus beau que d’habitude
Les herbes, les arbres aussi sans doute
Même l’hirondelle changeat d’attitude
En volant plus bas sur la route.
Oh oui !elle fut tendre ta tendresse !
Je l’eus vue courir sur mon corps
Tel l’écho de la voix qui caresse
Mon âme et résonne en mon for.
Je te vis dans toutes les étoiles
Qui poussèrent dans les cieux
Tu fus ici et là royale,
Pittoresque peut être mieux.
Tu me touchas encore, mais si fort
Que je ne rêvai que toi ce soir là
Que ma muse vibra avec mon corps
Pauvre d’elle !, elle se brûla,
Tellement tu fus feu et braise
Et moi je pleurai de joie
Tellement ta chaleur rouge fraise
Combla mon émoi.
Je dormis sous le feulement de ton cœur
Avant que ne s’éteingna le soleil, tout joyeux,
Au bord de cette rivière où les fleurs
Me firent un lit bleu et soyeux.
Japhet.