Qu’importe le temps qu’il fasse, un froid glacial ou un soleil radieux,
Dans cet univers, je suis seul et silencieux.
Que le ciel soit bleu, ou que le soleil ris,
Je suis seul et ma vie n’est qu’une nuance de gris.
Alors que tout n’est que coloré de vie.
Moi sur mon petit ilot, seul je m’ennuie.
Soudain, à l’horizon je crois voir apparaitre,
Quelque rayons de lumière qu’il me semble reconnaitre.
Enfin, elle me sourit, m’a reconnu.
Je suis éclairé par celle en qui je ne croyais plus.
Je quitte mon île, je plonge dans la vie,
Celle dont le simple regard m’a éblouit.
Mais alors que j’allais embarquer,
Vers cet horizon qui m’avait séduit.
Un nuage me prend le seul rayon qui m’avait ébloui
Alors je préfère rester sur mon ilot égaré.
Oui, le sourire était pour Nini.
Mais le regard pour le nuage aigris.
Arnoras, Mardi 18 Mars 2008
A cette Horizon que je ne pourrais jamais enlacer.
A ce regard que je redoute de ne m’être jamais destiné.
Dans cet univers, je suis seul et silencieux.
Que le ciel soit bleu, ou que le soleil ris,
Je suis seul et ma vie n’est qu’une nuance de gris.
Alors que tout n’est que coloré de vie.
Moi sur mon petit ilot, seul je m’ennuie.
Soudain, à l’horizon je crois voir apparaitre,
Quelque rayons de lumière qu’il me semble reconnaitre.
Enfin, elle me sourit, m’a reconnu.
Je suis éclairé par celle en qui je ne croyais plus.
Je quitte mon île, je plonge dans la vie,
Celle dont le simple regard m’a éblouit.
Mais alors que j’allais embarquer,
Vers cet horizon qui m’avait séduit.
Un nuage me prend le seul rayon qui m’avait ébloui
Alors je préfère rester sur mon ilot égaré.
Oui, le sourire était pour Nini.
Mais le regard pour le nuage aigris.
Arnoras, Mardi 18 Mars 2008
A cette Horizon que je ne pourrais jamais enlacer.
A ce regard que je redoute de ne m’être jamais destiné.