Quand autour de moi les ténèbres hostiles
Envahirent sans prévenir cet espace si fragile,
De ma peau déchirée et de mon âme malade
Acteur d’une mise en scène, d’une sombre mascarade…
Je me suis laissé glisser là où plus rien ne bouge
Mais au travers de ma chair marquée au fer rouge
Ressurgit ce passé, ces blessures, et sans raison
Cette vieille odeur amère, celle du goût du poison.
Perdu et isolé dans cette immensité perfide
C’est sur cette peau meurtrie que tous les maux s’inhibent
Entraîné sans résistance aux confins des abîmes,
Elles ont su faire de moi une marionnette, un mime…
Au bord du précipice abrupt qu’est celui de la vie
Je marche à présent seul, sans me rappeler qui je suis.
Comme un démon habile tu t’es joué de moi
Et dans cette chute sans fin tu m’emportes avec toi…
Laisse moi respirer, reprendre mon souffle
Dans ce tumulte sans vie où l’on erre et l’on souffre
Implorer la flamme et le feu pour purifier mon âme
M’accorder ton pardon ou périr par les armes…
De cette renaissance insipide où je lutte encore bien trop
La faille qui m’a recraché libéré de mon ego
S’est à jamais refermée, emprisonnant dans ses chaînes
Mon autre fait de douleurs et de haine…CARPE DIEM
Envahirent sans prévenir cet espace si fragile,
De ma peau déchirée et de mon âme malade
Acteur d’une mise en scène, d’une sombre mascarade…
Je me suis laissé glisser là où plus rien ne bouge
Mais au travers de ma chair marquée au fer rouge
Ressurgit ce passé, ces blessures, et sans raison
Cette vieille odeur amère, celle du goût du poison.
Perdu et isolé dans cette immensité perfide
C’est sur cette peau meurtrie que tous les maux s’inhibent
Entraîné sans résistance aux confins des abîmes,
Elles ont su faire de moi une marionnette, un mime…
Au bord du précipice abrupt qu’est celui de la vie
Je marche à présent seul, sans me rappeler qui je suis.
Comme un démon habile tu t’es joué de moi
Et dans cette chute sans fin tu m’emportes avec toi…
Laisse moi respirer, reprendre mon souffle
Dans ce tumulte sans vie où l’on erre et l’on souffre
Implorer la flamme et le feu pour purifier mon âme
M’accorder ton pardon ou périr par les armes…
De cette renaissance insipide où je lutte encore bien trop
La faille qui m’a recraché libéré de mon ego
S’est à jamais refermée, emprisonnant dans ses chaînes
Mon autre fait de douleurs et de haine…CARPE DIEM