Et c'est au clair de lune que je m'adresse ce soir,
C'est aux étoiles que je confie mes pensées noires.
Recherchant une lueur, une porte de sortie
Je ne pensais pas retrouver le besoin de re-prier ici.
Je préviens, mon histoire n'est pas des plus originales,
En vérité certains la qualifieraient même de quelques peu banale.
Ce soir je n'en ai que faire de l'avis d'autrui,
J'ai besoin de parler donc j'écris.
C'est vrai, j'étais tombée dans un vide, un trou,
Pensant infini, j'avais perdu tout espoir je l'avoue
C'était tellement impossible à changer, je ne tentais pu de m'enfuir
J'attendais simplement de me fracasser, pour de bon en finir
Par surprise pour la première fois je fus sauvée,
Une corde prit soin, à la surface me remonter
Presque noyée dans un océan de cauchemars, je fus repêchée
Un espoir brilla, l'espoir de pouvoir enfin espérer
Il déposa dans mes iris des étoiles qui y briller
Reflétant nos longues soirées à observer ces feux dans les cieux scintiller
Peignant mes murs, m'invitant dans sa cité
Je commença à croquer la vie, m'autorisant à rêver
Alors que pour la première mon monde de ces démons étaient bannis,
Je me retrouva exilée et bannie de ma place dite promise
Spectatrice de mes rêves, espoir et projets envolés
Mon équilibre brisé, ses promesses cramées
Depuis ce jour tout s'écroule autour de moi,
Mon pilier tombé, mon cœur défoncé
Je continue de trouver ça injuste pourquoi moi?
Cherchant des explications à pour quoi je dois encore douiller.
A présent qui suis-je? A quoi ça sert de rester?
Ca fait quoi de sentir son cœur plein de gaieté?
T'avais promis de ne pas me lâcher, que tu resterais,
Comment t'as pu partir et seule me laisser?
Comment te détester à présent, comment t'oublier?
Te traiter de connard qui ne mérite pas de vivre
Comment te haïr et cesser de t'aimer?
Pourquoi demeures-tu la seule chose dont je dois rester ivre?
C'est aux étoiles que je confie mes pensées noires.
Recherchant une lueur, une porte de sortie
Je ne pensais pas retrouver le besoin de re-prier ici.
Je préviens, mon histoire n'est pas des plus originales,
En vérité certains la qualifieraient même de quelques peu banale.
Ce soir je n'en ai que faire de l'avis d'autrui,
J'ai besoin de parler donc j'écris.
C'est vrai, j'étais tombée dans un vide, un trou,
Pensant infini, j'avais perdu tout espoir je l'avoue
C'était tellement impossible à changer, je ne tentais pu de m'enfuir
J'attendais simplement de me fracasser, pour de bon en finir
Par surprise pour la première fois je fus sauvée,
Une corde prit soin, à la surface me remonter
Presque noyée dans un océan de cauchemars, je fus repêchée
Un espoir brilla, l'espoir de pouvoir enfin espérer
Il déposa dans mes iris des étoiles qui y briller
Reflétant nos longues soirées à observer ces feux dans les cieux scintiller
Peignant mes murs, m'invitant dans sa cité
Je commença à croquer la vie, m'autorisant à rêver
Alors que pour la première mon monde de ces démons étaient bannis,
Je me retrouva exilée et bannie de ma place dite promise
Spectatrice de mes rêves, espoir et projets envolés
Mon équilibre brisé, ses promesses cramées
Depuis ce jour tout s'écroule autour de moi,
Mon pilier tombé, mon cœur défoncé
Je continue de trouver ça injuste pourquoi moi?
Cherchant des explications à pour quoi je dois encore douiller.
A présent qui suis-je? A quoi ça sert de rester?
Ca fait quoi de sentir son cœur plein de gaieté?
T'avais promis de ne pas me lâcher, que tu resterais,
Comment t'as pu partir et seule me laisser?
Comment te détester à présent, comment t'oublier?
Te traiter de connard qui ne mérite pas de vivre
Comment te haïr et cesser de t'aimer?
Pourquoi demeures-tu la seule chose dont je dois rester ivre?