solitudine
solitude
longitude
turlupine
mon etre dans l'hiver doux
de tes boucles roux
qui perdent de la couleur
de mort, en a l'odeur
doux piano dont le coeur est sourd
doux piano dont moi je suis muet
l'accord du toucher et de chaque tour
fais de nous deux le plus merveilleux des duet
la tristesse perdue dans l'attente
l'attente qui rend seul
l'attente qui brule l'esperencia
que la joie d'ailleurs dejante
et acceuille l'amour en linceul
perdu de vue si longtemps...gratia
que redoute solitudine
solitude
lassitude
baratine
mes espoirs dans la melancolie
de tes paroles sans vie
qui gagne de sifflement
et caresse mes larmes tendrement
dans l'apotheose de la perfection
de la mort de la raison
dans tes sons de sirenes
dont je garde l'accord
et que mon ame prenne
feu
dans la valse de nos corps
que sois jalouse solitudine
solitude
decrepitude
.....
meurt solitude
meurt avec moi
dans l'etrangete de notre amour
meurt dans l'hiver doux
de mes propres cheveux roux
un autre printemps dans le sejour heureux
d'un piano sans maitre
mais encore amoureux
d'un corps contraire
qu'accompagnera les rose d'un cimetiere.
solitude
longitude
turlupine
mon etre dans l'hiver doux
de tes boucles roux
qui perdent de la couleur
de mort, en a l'odeur
doux piano dont le coeur est sourd
doux piano dont moi je suis muet
l'accord du toucher et de chaque tour
fais de nous deux le plus merveilleux des duet
la tristesse perdue dans l'attente
l'attente qui rend seul
l'attente qui brule l'esperencia
que la joie d'ailleurs dejante
et acceuille l'amour en linceul
perdu de vue si longtemps...gratia
que redoute solitudine
solitude
lassitude
baratine
mes espoirs dans la melancolie
de tes paroles sans vie
qui gagne de sifflement
et caresse mes larmes tendrement
dans l'apotheose de la perfection
de la mort de la raison
dans tes sons de sirenes
dont je garde l'accord
et que mon ame prenne
feu
dans la valse de nos corps
que sois jalouse solitudine
solitude
decrepitude
.....
meurt solitude
meurt avec moi
dans l'etrangete de notre amour
meurt dans l'hiver doux
de mes propres cheveux roux
un autre printemps dans le sejour heureux
d'un piano sans maitre
mais encore amoureux
d'un corps contraire
qu'accompagnera les rose d'un cimetiere.