Vers toi qui sus m'aimer au temps de ma jeunesse
Je me tourne en esprit au soir de la saison
Saurais-tu fugitif comme un vol de vanesses
Retrouver l'autrefois de notre déraison
Saurais-tu deviner que ma gorge se serre
Quand je pense au bonheur qui nous était promis
Que si je t'ai dit non ,je n'étais pas sincére
Mais seulemnent pressée de revoir des amis
Et voici qu'à présent j'entre en ma solitude
Car les meilleurs sont morts ,las autres dispersés
Je ne veux pas pleurer ,j'ai perdu l'habitude
De m'imposer le deuil des rêves dépassés
Mais si tu voulais bien un jour m'écrire encore
Je pourrais te prouver que le vrai repentir
N'est pas un masque feint dont l'âme se décore
Et que devenue vieille je ne sais plus mentir....
Je me tourne en esprit au soir de la saison
Saurais-tu fugitif comme un vol de vanesses
Retrouver l'autrefois de notre déraison
Saurais-tu deviner que ma gorge se serre
Quand je pense au bonheur qui nous était promis
Que si je t'ai dit non ,je n'étais pas sincére
Mais seulemnent pressée de revoir des amis
Et voici qu'à présent j'entre en ma solitude
Car les meilleurs sont morts ,las autres dispersés
Je ne veux pas pleurer ,j'ai perdu l'habitude
De m'imposer le deuil des rêves dépassés
Mais si tu voulais bien un jour m'écrire encore
Je pourrais te prouver que le vrai repentir
N'est pas un masque feint dont l'âme se décore
Et que devenue vieille je ne sais plus mentir....