Sois heureuse
Avec son sourire pur
Qui cache des sacrées larmes
De douleur certes, dans son cœur une fissure
Faite par la vie, avec une tranchante lame
Elle vit avec sa mère, sans connaitre son père
Elle le croit mort, séparé par la faucheuse des âmes
Elle veut de la pluie, pour son vaste désert,
Ils l’ont tellement puni, il faut qu’il cesse son drame
Avec son cœur brisé, elle chante des tristes, airs
À quoi ressemble sa vie, fillette ou bien femme
Une vie aisée, elle vit, ou dans le l’étau de la misère
Quand je pense à tout ça, mon cœur s’enflamme
Mon cœur me dicte des mots
J’ai mal, quand je l’imagine
Ma reine je la vois souvent, mon cœur a des yeux
Silhouette maigre, la faim l’assassine
Avec un pull vert, pour toutes les saisons
Les mots de ses prières, le corps qui s’incline
Oh parle-moi père, ou se trouve ton tombeau
Je perds mes repères, j’ai mal dans ma poitrine
Surtout en hiver, seul moi, je me sens
Des tristes anniversaires, ton absence chagrine
Seule avec ma mère, qui fait de son vieux
Elle berce les jours, le cœur plein de peine
Fidèle a ton amour, elle a choisi ses enfants
Elle a fermé son cœur, malgré qu’elle soit jeune
Elle dit que faire de l’or, vous êtes la lumière de mes yeux
Oh ma fille, je t’adore, quand te voir pleurer, je saigne
Père et mère enterré, me reste que vous
Où est tu ma fille, ton amour m’enchaîne
Il fait mes douleurs, je n’ai que ton nom
Dans ma vie, j’ai peur, lourd, ils sont mes chaînes
Te voir avant ma mort, et c’est pour bientôt
Je résiste pourtant, la maladie me cerne
Et les médicaments, effet des bonbons
Je veux le repos , mes mots ce soir témoignent
Ma naïveté, un jour, m’a joué des tours
J’ai cru à l’amour, mais le fort prix, j’ai payé
Mes premiers pleurent, celle de douleur
C’était bien le jour, ou ma fille es née
Vivre d‘autre amour, j’ai essayé pourtant
Mais je n’arrive pas à m'envoler, brisé sont mes ailes
Quand j’entends quelqu'un meme de loin dire son nom
Ma douleur s’éveille et soudain les larmes
Alors j’écris ma douleur noire sur le banc
Des mots à ma belle, et qu'elle sache que je l'aime
Qu’elle accepte mon pardon, pour calmé mon volcan
Pour qu’il puisse fondre ce glacier qui me gel
Et avoir une chaleur au cœur, avant le froid du tombeau
N’oublie pas ma fille, mon rendez-vous au ciel
Là-haut, j’attends ton âme, mais vis pour moi pour le moment
Sois ma fille heureuse, même sans ton père
Et prie pour moi, le maitre des cieux
Je t’aime
Mustapha
Avec son sourire pur
Qui cache des sacrées larmes
De douleur certes, dans son cœur une fissure
Faite par la vie, avec une tranchante lame
Elle vit avec sa mère, sans connaitre son père
Elle le croit mort, séparé par la faucheuse des âmes
Elle veut de la pluie, pour son vaste désert,
Ils l’ont tellement puni, il faut qu’il cesse son drame
Avec son cœur brisé, elle chante des tristes, airs
À quoi ressemble sa vie, fillette ou bien femme
Une vie aisée, elle vit, ou dans le l’étau de la misère
Quand je pense à tout ça, mon cœur s’enflamme
Mon cœur me dicte des mots
J’ai mal, quand je l’imagine
Ma reine je la vois souvent, mon cœur a des yeux
Silhouette maigre, la faim l’assassine
Avec un pull vert, pour toutes les saisons
Les mots de ses prières, le corps qui s’incline
Oh parle-moi père, ou se trouve ton tombeau
Je perds mes repères, j’ai mal dans ma poitrine
Surtout en hiver, seul moi, je me sens
Des tristes anniversaires, ton absence chagrine
Seule avec ma mère, qui fait de son vieux
Elle berce les jours, le cœur plein de peine
Fidèle a ton amour, elle a choisi ses enfants
Elle a fermé son cœur, malgré qu’elle soit jeune
Elle dit que faire de l’or, vous êtes la lumière de mes yeux
Oh ma fille, je t’adore, quand te voir pleurer, je saigne
Père et mère enterré, me reste que vous
Où est tu ma fille, ton amour m’enchaîne
Il fait mes douleurs, je n’ai que ton nom
Dans ma vie, j’ai peur, lourd, ils sont mes chaînes
Te voir avant ma mort, et c’est pour bientôt
Je résiste pourtant, la maladie me cerne
Et les médicaments, effet des bonbons
Je veux le repos , mes mots ce soir témoignent
Ma naïveté, un jour, m’a joué des tours
J’ai cru à l’amour, mais le fort prix, j’ai payé
Mes premiers pleurent, celle de douleur
C’était bien le jour, ou ma fille es née
Vivre d‘autre amour, j’ai essayé pourtant
Mais je n’arrive pas à m'envoler, brisé sont mes ailes
Quand j’entends quelqu'un meme de loin dire son nom
Ma douleur s’éveille et soudain les larmes
Alors j’écris ma douleur noire sur le banc
Des mots à ma belle, et qu'elle sache que je l'aime
Qu’elle accepte mon pardon, pour calmé mon volcan
Pour qu’il puisse fondre ce glacier qui me gel
Et avoir une chaleur au cœur, avant le froid du tombeau
N’oublie pas ma fille, mon rendez-vous au ciel
Là-haut, j’attends ton âme, mais vis pour moi pour le moment
Sois ma fille heureuse, même sans ton père
Et prie pour moi, le maitre des cieux
Je t’aime
Mustapha
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