Les portent se referment
Derrière elles, le silence.
Des murs blancs, le silence.
Et les angoisses noires germent.
Pluis rien, plus un sourire
Et des voix qui s'éteignent.
Et les sombres douleurs saignent.
L'espoir n'est plus de vivre.
Rien, devient Quotidient
Et tout seul ces humains
Suppli le ciel en vain
Qu'il enlève tous ces liens.
Pas un mot, le temps passe
Et le corps se délaisse
Plus de larmes qui ne pèsent
La mémoire s'efface.
Puis plus de dignité
Comment est ce possible
Qu'elle devienne invisible
Et qu'elle soit délaissée.
Sans considération
Pour ces Vieux fatigués
Par qui nous sommes tous nés
Sans considération.
Le soliel traverse les vitres
Ne réchauffe pas les coeurs
Et ni toutes les peurs
Enfin, se vide leur ventre....
Comment est ce possible
Que ces Vieux fatigués
Par qui nous sommes tous nés
Restent seul , invisiblent.
Nuange
Derrière elles, le silence.
Des murs blancs, le silence.
Et les angoisses noires germent.
Pluis rien, plus un sourire
Et des voix qui s'éteignent.
Et les sombres douleurs saignent.
L'espoir n'est plus de vivre.
Rien, devient Quotidient
Et tout seul ces humains
Suppli le ciel en vain
Qu'il enlève tous ces liens.
Pas un mot, le temps passe
Et le corps se délaisse
Plus de larmes qui ne pèsent
La mémoire s'efface.
Puis plus de dignité
Comment est ce possible
Qu'elle devienne invisible
Et qu'elle soit délaissée.
Sans considération
Pour ces Vieux fatigués
Par qui nous sommes tous nés
Sans considération.
Le soliel traverse les vitres
Ne réchauffe pas les coeurs
Et ni toutes les peurs
Enfin, se vide leur ventre....
Comment est ce possible
Que ces Vieux fatigués
Par qui nous sommes tous nés
Restent seul , invisiblent.
Nuange