S’IL SUFFISAIT DE CROIRE
En cette dénégation incontrôlée d’exubérance
La résonnance intemporelle se bat d’absence,
L’absolu de mes convictions s’agite d’impuissance
Et interpelle en désuétude l’indifférence.
Et l’orage s’écoule en l’aile du temps
Et le temps se lisse en larmes d’orage
Et les heures s’égrainent en roses des vents
Et le vent se conte aux rives de l’âge.
Ces années bafouées de confiantes insouciances
Déchainent les affres d’obscures survivances
En de sombres, arides et cruelles déchéances
Aux témoignages d’infrastructures de l’existence…
Et l’orage s’écoule en l’aile du temps
Et le temps se lisse en larmes d’orage
Et les heures s’égrainent en roses des vents
Et le vent se conte aux rives de l’âge.
En cette dénégation incontrôlée d’exubérance
La résonnance intemporelle se bat d’absence,
L’absolu de mes convictions s’agite d’impuissance
Et interpelle en désuétude l’indifférence.
Et l’orage s’écoule en l’aile du temps
Et le temps se lisse en larmes d’orage
Et les heures s’égrainent en roses des vents
Et le vent se conte aux rives de l’âge.
Ces années bafouées de confiantes insouciances
Déchainent les affres d’obscures survivances
En de sombres, arides et cruelles déchéances
Aux témoignages d’infrastructures de l’existence…
Et l’orage s’écoule en l’aile du temps
Et le temps se lisse en larmes d’orage
Et les heures s’égrainent en roses des vents
Et le vent se conte aux rives de l’âge.