Si un jour devant une glace,tu admires ton visage;
Sous la lumière d'une bougie qui vacille et t'éclaire,
Les rayons lumineux qui peigneraient ton image,
Me peindraient aussitôt ta silhouette dans l'air.
Si un jour de printemps, tu contemples une fleur;
Qui danse au petit vent, gaie et bien heureuse,
Sache bien que comme elle, doucement bat mon coeur
Et t'admire en chantant à voix basse berceuse.
Si un jour, aprés l'oubli, tu reprends ce poème,
Et que cette feuille de papier tremblote entre tes mains;
Sache bien que quelque part,dans un rêve,c'est moi même
Qui revois ton visage que la lumière me repeint.
ABAL Capri
Sous la lumière d'une bougie qui vacille et t'éclaire,
Les rayons lumineux qui peigneraient ton image,
Me peindraient aussitôt ta silhouette dans l'air.
Si un jour de printemps, tu contemples une fleur;
Qui danse au petit vent, gaie et bien heureuse,
Sache bien que comme elle, doucement bat mon coeur
Et t'admire en chantant à voix basse berceuse.
Si un jour, aprés l'oubli, tu reprends ce poème,
Et que cette feuille de papier tremblote entre tes mains;
Sache bien que quelque part,dans un rêve,c'est moi même
Qui revois ton visage que la lumière me repeint.
ABAL Capri