Madame,
Si l’amour c’était un caressant regard
Dessous une paupière gracieuse qui palpite
Un corps charmé qui frisonne de toute part
Un battement de cœur et des mots qui hésitent,
Si c’était voir
Un regard de douceur d’un œil azurin
Contempler au loin un paysage qui sommeille
Un soleil vainqueur des caprices du matin
Qui parcourt une douce peau et la réveille
Si c’était sentir
M’emportant de sommeil au chevet de vos lèvres
Mon corps qui tremble vivre un céleste séjour
Et votre aura dans les profondeurs de mes rêves
Dans mes deux narines, o chemins sans lumières
Je laisserai bien volontiers tout mon amour
Tomber dans vos oreilles de sa splendeur fière.
Japhet
Si l’amour c’était un caressant regard
Dessous une paupière gracieuse qui palpite
Un corps charmé qui frisonne de toute part
Un battement de cœur et des mots qui hésitent,
Si c’était voir
Un regard de douceur d’un œil azurin
Contempler au loin un paysage qui sommeille
Un soleil vainqueur des caprices du matin
Qui parcourt une douce peau et la réveille
Si c’était sentir
M’emportant de sommeil au chevet de vos lèvres
Mon corps qui tremble vivre un céleste séjour
Et votre aura dans les profondeurs de mes rêves
Dans mes deux narines, o chemins sans lumières
Je laisserai bien volontiers tout mon amour
Tomber dans vos oreilles de sa splendeur fière.
Japhet