Mon fils , ma bataille
Dans chaque métiers, dans chaque domaine, l’erreur est HUMAINE mais vois-tu mon enfant, tous ces hommes en blouse blanche auxs nous t’avions confié n’ont pas mérité notre confiance !
La souffrance que tu avais en toi , personne ne pouvait la comprendre, mais eux, ces psychologues, ces psychiatres, ils t’ont côtoyé pendant des mois’ mais ils n’ont rien compris,ils n’ont rien vu,ils n’ont surtout rien fait.
Tu as attenté à ta vie.Ils ne nous ont même pas prévenu.
Tu étais à notre charge,nous, nous étions tes parents,tes frères et ta sœur.
Mais rien !
Ils t’ont emmené aux urgences’ ils t’ont soigné comme ils ont pu puis ils t’ont ramené à la clinique.
Si seulement ils nous avaient prévenus,nous aurions accouru, nous aurions pu discuter de ce qui n’allais pas.
Le lendemain, ton voisin de chambre, avant de partir en permission pour deux jour,t’a dit: « surtout ne fais plus de bêtises »
Tu lui as répondu que tu recommencerais ,nous a-t-il raconter.
Ils a eu peur, ton voisin de chambre averti le personnel soignant qui s’ont inscrit dans ton dossier médical que tu devais être sous surveillance plus,plus,plus.
Mais rien n’a été fais !
Le jour même tu as mis fin à tes jours.Nous déplorons de ne pas avoir été prévenus lors de ta première tentative sous prétexte que tu étais majeur, alors que quelques jours avant, pour un simple mal de dos,nous avons été interpellés par le personnel soignant pour t’emmener à un examen radiographique.
Tout ceci est d’autant plus terrible que nous aurions pu ,dans ton moment de très grande détresse, te raisonner, et te faire prendre concience de la gravité de ton acte.
Compte tenu de cette situation dramatique, nous ne comprenons pas que tu n’aies pas été placé en isolement comme il se doit dans une telle situation.
Tu es resté sans surveillance !
Les précautions d’usage n’ont pas été respectées !
Tes lacets, un fil de téléphone,la prise d’une radio et ta ceinture sont restés à ta portée dans ta chambre ,alors que tu devais ètre sous surveillance.
Si bien que le lendemain, après le repas de midi, tu es retourné dans ta chambre et tu t’es pendu à l’aide de ta ceinture et de la prise de ton poste.
Nous sommes révoltés que ces docteurs, qui n’ont pas su ou qui n’ont pas voulu détecter l’appel au secours qu’avais lancé la veille de ton suicide en te coupant les veines,n’ont pas pris les précautions nécessaires pour t’empècher de recommencer. Dans d’autres situations, quand des hommes ou des femmes tuent, violent ou enlèvent des enfants, on leur confisques tout ce avec quoi ils pourraient attenter à leur vie,avant de les mettre en prison.
Et toi notre fils, tu n’as rien fait de mal, tu étais malade et eux n’ont rien fait pour t’aider.Je leur En veux et je voudrais que justice sois faite.
Comme je te l’ai promis le jour de tes funérailles,nous iront jusqu’au bout et si la justice ne fais pas son travail,plus jamais je ne croirais en elle.
Maman
depuis je me bat depuis quatre ans et aujourd'hui , je viens d'avoir un courrier de mon avocas il y a eux un deuxiéme non lieu , je vous en suplie mes amie de créapoème conseillé moi , je suis désemparé