L'océan devant lui se prolongeait, immense.
D'autres en flots brillants s'étendent dans les airs,
Se balançant au vent sur un ciel gris de fer,
Invisibles dans l'air, l'entourent en silence.
L'Océan qui palpite, en sa plainte infinie,
Avec de longs cris sourds roule en tourbillons blancs,
De remous en remous, plongeant et tournoyant,
Où l'on voit, à travers l'azur de l'harmonie.
Dans le coeur las de l'eau qui soudain se colore,
Détaché de la terre, il contemplait les cieux
Et le vent de la mer agitait ses cheveux.
Sans rivage et sans fond, sans borne et sans milieu,
Où la brume en flocons transparents s'évapore,
Une larme furtive erre au bord de ses yeux.
D'autres en flots brillants s'étendent dans les airs,
Se balançant au vent sur un ciel gris de fer,
Invisibles dans l'air, l'entourent en silence.
L'Océan qui palpite, en sa plainte infinie,
Avec de longs cris sourds roule en tourbillons blancs,
De remous en remous, plongeant et tournoyant,
Où l'on voit, à travers l'azur de l'harmonie.
Dans le coeur las de l'eau qui soudain se colore,
Détaché de la terre, il contemplait les cieux
Et le vent de la mer agitait ses cheveux.
Sans rivage et sans fond, sans borne et sans milieu,
Où la brume en flocons transparents s'évapore,
Une larme furtive erre au bord de ses yeux.