J’aimerai te parler, te sentir, t’écouter
Sans arrêt. Comme cela, je pourrai t’aimer.
Je voudrais te parler d’avenir, de passion
Sans regret. Comme cela nous existerons.
J’adorerai ton regard, ton rire si souvent
Arrêté par quelques imbéciles ignorants.
Mais mon amour m’aimeras-tu si, quelques fois
Pour les contre dire, je ne serai pas là ?
Maintenant tu sais, mon bien aimé. Viens ici
Me retrouver, dans la demeure de ma vie,
Suivre ce long sentier, odeurs imperceptibles,
Viens déposer un baiser sur ma joue paisible,
Livide et patiente, puis un bouquet de roses
Au pied de ma tombe cendrée, triste et morose.
Sans arrêt. Comme cela, je pourrai t’aimer.
Je voudrais te parler d’avenir, de passion
Sans regret. Comme cela nous existerons.
J’adorerai ton regard, ton rire si souvent
Arrêté par quelques imbéciles ignorants.
Mais mon amour m’aimeras-tu si, quelques fois
Pour les contre dire, je ne serai pas là ?
Maintenant tu sais, mon bien aimé. Viens ici
Me retrouver, dans la demeure de ma vie,
Suivre ce long sentier, odeurs imperceptibles,
Viens déposer un baiser sur ma joue paisible,
Livide et patiente, puis un bouquet de roses
Au pied de ma tombe cendrée, triste et morose.