Silence de mort,
Ma raison s'éteint.
Silence de mort,
L'angoisse m'étreint.
Je sens derrière moi comme une présence.
La peur m'étourdit, c'est une évidence.
Mais que m'arrive-t-il, je perds connaissance.
Dans cet univers d'éternelles souffrances.
Ma vie s'évapore comme une émotion.
Je quitte mon corps sans aucune raison.
Après tout j'ignore toutes ces sensations,
Car c'est un effort, voire une crispation.
Ça y est je m'endors, avec élégance,
Car le feu m'ignore, j'accepte la sentence.
Je finirais là, seule sur le plancher.
La maison qui brûle, sera mon bûcher.
Ma raison s'éteint.
Silence de mort,
L'angoisse m'étreint.
Je sens derrière moi comme une présence.
La peur m'étourdit, c'est une évidence.
Mais que m'arrive-t-il, je perds connaissance.
Dans cet univers d'éternelles souffrances.
Ma vie s'évapore comme une émotion.
Je quitte mon corps sans aucune raison.
Après tout j'ignore toutes ces sensations,
Car c'est un effort, voire une crispation.
Ça y est je m'endors, avec élégance,
Car le feu m'ignore, j'accepte la sentence.
Je finirais là, seule sur le plancher.
La maison qui brûle, sera mon bûcher.