Par un soir noir d'automne , où règnerait la pénombre J'irais dans une forêt , j'aspirerai une odeur Qui ne m'apparaîtra pas sans encombre Cela m'en incrustera de malheur Quand je perceverai une légère ivresse Un goutte d'insouciance que je pourrai extirper Je ne pourrai plus penser ni parler J'en sentirai un moment de détresse Quelques larmes sortirait de mon organe de vision A cause d'une telle souffrance de chagrin et de soupir Puis j'en sentirai une caresse d'une telle delicatesse qui me fit de l'affection Tu me fera rougir , sourir de plaisir Mais ce moment disparaîtra , emporté dans le passé Je ne pouvai t'embrasser , dans nos bras entrelacés C'étais un sentiment persistants de regrets Tu me laissas comme un dresseur sans son fouet