Dim 05 juin 11
De moi, tu peux attendre des rires,
J’ouvrirais la porte qui te fera sourire,
La bonne, rose pâle, au fond du couloir noir.
Tu peux t’attendre Anne
Rien dire à Joséphine, ha ! Clothilde
N’entrez n’entrez pas !
Ce monde là est à moi !
Moins j’écris plus je vois
Claire ! Non non non
Je ne veux pas que soit consumer ce tas de bois !
Par un feu ravageur, j’imagine
Ma maison brûler, plus de porte ni d’entrée
Et là, dedans, mon petit corps calciné.
Mauvais rêve ou lubie,
La vie va. De ci –de là cahotante :
Je ne suis pas anéanti.
Et grâce à cette force
En moi débordante,
Je peux prendre et briser l’écorce,
T’enlever aux bras tendu de Dante.
De moi, tu peux attendre des rires,
J’ouvrirais la porte qui te fera sourire,
La bonne, rose pâle, au fond du couloir noir.
Tu peux t’attendre Anne
Rien dire à Joséphine, ha ! Clothilde
N’entrez n’entrez pas !
Ce monde là est à moi !
Moins j’écris plus je vois
Claire ! Non non non
Je ne veux pas que soit consumer ce tas de bois !
Par un feu ravageur, j’imagine
Ma maison brûler, plus de porte ni d’entrée
Et là, dedans, mon petit corps calciné.
Mauvais rêve ou lubie,
La vie va. De ci –de là cahotante :
Je ne suis pas anéanti.
Et grâce à cette force
En moi débordante,
Je peux prendre et briser l’écorce,
T’enlever aux bras tendu de Dante.