sans son regard

[ezeler]

je me suis souvenu de cette premiere
fois celle ou on cetait connu
ce soir dun vielle avril
fragile le coeur battant ,
lapparence dun enfant
devan lemerveillement,
le sentimen perdu dun vielle ami
devenu mari febril
le temps comme sarretan
sur les berge du nil
coulan a fleur de peau
cette neige abondante
je men etai souvenu
si belle cette inconnue
devrait elle etre contente
si belle de mon emois ,
simple couleur se rouge pourpre ,
ces ligne courber
combler son manque de grace
le charme eclatant,
degrafant son corsage fatiguer
dégradan cette glace
et la classe etan faite
dune supercherie mondaine
me suggerer a loreille
laudace dun jeune amant
quelle etait belle ,
digne de vertu
a demi nue
la peau si douce
si bien pauvre vétue
la preuve qui fue la mienne
elle me devisagea
et puis me tue
elle etait belle
et plus que sa encorre
plus belle et plus feroce
que la louve pour ses gosses
plus forte et plus timide
que cette mante si religieuse étant
ayant si faim
quelle nu comme fin
que le desir atroce
de devorer sans cesse
ce poison
comme assoifer
dune envie efrainer
me laissan tel san voix ...