Si la nuit était, cette bonne conseillère,
Si dans le noir tous les ombres disparaissaient
Si le jour naissant la nature s’éveillait,
Si toutes choses prenaient forme à la lumière,
De là, je contemplerais son sourire éphémère
Au reflet de ces heures qui passent
Les aiguilles marquent chaque douleur,
Des secondes où ancrée dans la torpeur
Les chiffres de tristesse endormis rêvassent
Et ralentissent mes battements pour que mon cœur se lasse
Seule devant son image, immobile, fébrile
Son regard m’annonçait déjà l’ailleurs de son avenir,
Il s’est tu pour partir, blessant mon souvenir
Laissant derrière lui quelques mots inutiles
Et son désaveu d’être à jamais mon idylle
Il a volé tous mes vœux et mes espoirs fleurissants
Il m’a donné pour reprendre son amour,
Pauvre de son absence, vide, le souffle court,
Me voici misérable déambulant dans les rangs
Des damnés, vivant sans émotion, ni sentiment
Je me fonds dans le décor qu’il m’a imposé,
Je fends devant l’essor de son indifférence
Et si lors d’un instant vers moi il s’avance
Je retiendrais le temps et le souffle coupé
Je reprendrais mon droit sur lui, je le ….. (le mot maquant commence par T)
Si dans le noir tous les ombres disparaissaient
Si le jour naissant la nature s’éveillait,
Si toutes choses prenaient forme à la lumière,
De là, je contemplerais son sourire éphémère
Au reflet de ces heures qui passent
Les aiguilles marquent chaque douleur,
Des secondes où ancrée dans la torpeur
Les chiffres de tristesse endormis rêvassent
Et ralentissent mes battements pour que mon cœur se lasse
Seule devant son image, immobile, fébrile
Son regard m’annonçait déjà l’ailleurs de son avenir,
Il s’est tu pour partir, blessant mon souvenir
Laissant derrière lui quelques mots inutiles
Et son désaveu d’être à jamais mon idylle
Il a volé tous mes vœux et mes espoirs fleurissants
Il m’a donné pour reprendre son amour,
Pauvre de son absence, vide, le souffle court,
Me voici misérable déambulant dans les rangs
Des damnés, vivant sans émotion, ni sentiment
Je me fonds dans le décor qu’il m’a imposé,
Je fends devant l’essor de son indifférence
Et si lors d’un instant vers moi il s’avance
Je retiendrais le temps et le souffle coupé
Je reprendrais mon droit sur lui, je le ….. (le mot maquant commence par T)