Sanctuaire de maux !
Il y a ces jours, ces nuits où la peine est profonde
Loin de tout, loin de toi, je souffre, je me meurs
La solitude a laissé une maison en tumeur
Ne pars pas sans rien dire, tu es ma force dans ce monde
J’ai offert mon cœur à jamais dans tes mains
En pensant vieillir jusqu’à la dernière seconde
Je suis cette bague au doigt enlacée et féconde
D’un Amour sans nom, puissant aux portes des saints
Ouvre les yeux, je désire encore te séduire
De mes pauvres maux que j’écris en désespoir
Sort de ce coma qui t’enivre en entonnoir
Reviens au creux de mes bras, tout reconstruire
La peur me hante, la mort odieuse m’affronte
Ne la laisse pas te prendre loin de mon regard
Il n’y a pas plus grand homme dans tout son art
Toi Hamilcar mon Amour laissé pour compte
Le cœur en peine, j’entends tes tristes plaintes
Ces mots que tu exprimes du fond d’un puits
Bats-toi encore, à corps et à cris, je m’éreinte
Ô ciel injuste comment oses-tu t’imposer sans bruit
Nôtre toit est devenu un sanctuaire de larmes
Je n’aie rien compris de ce monde où l’isoloir
Est cette noirceur où les persiennes sont l’arme
Contre tout intrus qui s’impose en écorchoir
A genoux je profane ce Dieu rancunier qui brise
Ce bonheur construit depuis huit ans pas à pas
Je sens encore ton baiser sur mon front en surprise
Ô que j’aime tes gestes qui apaisent mon au-delà
J’ai beau chercher au creux de mon lit ta présence
Je pose ma tête sur ton oreiller tout endormi
Il sent ton parfum, il sent le vide de l’origami
Ces lettres pliées où chaque mot est une sentence
Vis pour moi pour nous, vis oh oui vis, je te supplie !
Restée seule entre ces quatre murs, je veux mourir
Mourir, si tu abandonnes cette bataille à vomir
Tu ne partiras pas sans moi mon Amour, c’est la vie…….
LILASYS
Il y a ces jours, ces nuits où la peine est profonde
Loin de tout, loin de toi, je souffre, je me meurs
La solitude a laissé une maison en tumeur
Ne pars pas sans rien dire, tu es ma force dans ce monde
J’ai offert mon cœur à jamais dans tes mains
En pensant vieillir jusqu’à la dernière seconde
Je suis cette bague au doigt enlacée et féconde
D’un Amour sans nom, puissant aux portes des saints
Ouvre les yeux, je désire encore te séduire
De mes pauvres maux que j’écris en désespoir
Sort de ce coma qui t’enivre en entonnoir
Reviens au creux de mes bras, tout reconstruire
La peur me hante, la mort odieuse m’affronte
Ne la laisse pas te prendre loin de mon regard
Il n’y a pas plus grand homme dans tout son art
Toi Hamilcar mon Amour laissé pour compte
Le cœur en peine, j’entends tes tristes plaintes
Ces mots que tu exprimes du fond d’un puits
Bats-toi encore, à corps et à cris, je m’éreinte
Ô ciel injuste comment oses-tu t’imposer sans bruit
Nôtre toit est devenu un sanctuaire de larmes
Je n’aie rien compris de ce monde où l’isoloir
Est cette noirceur où les persiennes sont l’arme
Contre tout intrus qui s’impose en écorchoir
A genoux je profane ce Dieu rancunier qui brise
Ce bonheur construit depuis huit ans pas à pas
Je sens encore ton baiser sur mon front en surprise
Ô que j’aime tes gestes qui apaisent mon au-delà
J’ai beau chercher au creux de mon lit ta présence
Je pose ma tête sur ton oreiller tout endormi
Il sent ton parfum, il sent le vide de l’origami
Ces lettres pliées où chaque mot est une sentence
Vis pour moi pour nous, vis oh oui vis, je te supplie !
Restée seule entre ces quatre murs, je veux mourir
Mourir, si tu abandonnes cette bataille à vomir
Tu ne partiras pas sans moi mon Amour, c’est la vie…….
LILASYS