La saison a rangé la chaleur infernale
L’été meurt sous Les flots, eau méridionale.
L’été meurt sous Les flots, eau méridionale.
La fraîcheur au matin ouvre un voile d’espoir
Bien après que septembre envoûte une âme éprise
Où s’éveille sans bruit la douceur d’une brise
Qui chagrine le temps dans l’ivresse du soir.
Bien après que septembre envoûte une âme éprise
Où s’éveille sans bruit la douceur d’une brise
Qui chagrine le temps dans l’ivresse du soir.
On oublie en l’instant les amours de vacances
Laissant pour souvenir les pleurs de nos enfances.
Laissant pour souvenir les pleurs de nos enfances.
Le silence se noie en regard bien trop noir
Mais plus rien ne ressemble en douteuse méprise,
Et l’aube vient flétrir la flore sans surprise
découvrant la saison sous un ciel assommoir,
Mais plus rien ne ressemble en douteuse méprise,
Et l’aube vient flétrir la flore sans surprise
découvrant la saison sous un ciel assommoir,
Car la feuille se pare aux couleurs de l’automne
Doucement chaque jour de façon monotone,
Doucement chaque jour de façon monotone,
Maria-Dolores