Saches que
Sous le saule il y avait un pleureur,
Inconsolable et bien mort de peur,
Il ressentait la mort partout,
Fallait qu'il aille, jusqu'au bout.
Dans le jardin, y a un suspendu,
Il est parti, en abandonnant tout,
Babylone la superbe, va t-en vite,
Aux sacrifices des merveilles d'îte,
Au sommet du phare, ma lampe,
Illuminant des siècles de sampes,
Mille quatre cents escaliers, essouflé,
Je ne redescendrais plus jamais, jamais.
Sous le saule, il y avait un pleureur,
Suspendu à la vie par une lampe,
Dans la vie, souvent arrive l'erreur,
Il fallait durer, jusqu'au bout du bout.
Dans le jardin, des revenants écrus,
Où toutes les nuits, la mort s'agite,
Je souffre de tes nuits agitées, et
Je comprends, je ressens tes pensées.
Sous le saule il y avait un pleureur,
Inconsolable et bien mort de peur,
Il ressentait la mort partout,
Fallait qu'il aille, jusqu'au bout.
Dans le jardin, y a un suspendu,
Il est parti, en abandonnant tout,
Babylone la superbe, va t-en vite,
Aux sacrifices des merveilles d'îte,
Au sommet du phare, ma lampe,
Illuminant des siècles de sampes,
Mille quatre cents escaliers, essouflé,
Je ne redescendrais plus jamais, jamais.
Sous le saule, il y avait un pleureur,
Suspendu à la vie par une lampe,
Dans la vie, souvent arrive l'erreur,
Il fallait durer, jusqu'au bout du bout.
Dans le jardin, des revenants écrus,
Où toutes les nuits, la mort s'agite,
Je souffre de tes nuits agitées, et
Je comprends, je ressens tes pensées.
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