Sa raison de vivre
Il était remarquable
Artiste reconnu,
Clown inquiet, incurable
Grand coeur... Du déjà vu!
C’était juste un enfant
Se jouant des bourrasques,
Un talent décoiffant
Accroché à ses masques.
C‘était un être, à part!
L’émotion pour fleuron,
Prisonnier de son art
Frêle tel un bourgeon.
Mais ce n’était qu’un fou
Le cœur battant sans triche,
Sans aucun garde-fou
Aux penchants qui défrichent.
Et vous n’avez rien su
De sa grande souffrance,
Et vous n’avez rien vu
Que rires et puis brillance.
Mais dans ces yeux en peine
Se préparait la trame
Zoom avant sur ses veines
Qui préjugeait du drame.
C’est en improvisant
Qu’au final il dit… « Bye »,
D’un clin d’œil, ravisant
Ses gestes qui défaillent.
Vous croyez tout comprendre?
Le nœud à sa ceinture,
Tout savoir, tout prétendre?
De sa vie que clôture,
Le « Coupez! » d’un Watson
Au banc du 7ème art.
Mais c’était Parkinson!
Le diable à ce rencart
Et deux prises suffirent.
Délassant ses phalanges,
Il hissa son sourire
Puis lui donna le change…
…
Il était remarquable
Mais sous tout cet humour
Du fond de son cartable
L’amour mendiait toujours...
Ce soir, je pense à lui
Là-haut faisant le pitre
Et son étoile luit
Dans le ciel de ma vitre…
Judy
En hommage à cet acteur incomparable: Robin Williams
l'émotion à fleur de peau
(décédé le 11 août 2014)
Il était remarquable
Artiste reconnu,
Clown inquiet, incurable
Grand coeur... Du déjà vu!
C’était juste un enfant
Se jouant des bourrasques,
Un talent décoiffant
Accroché à ses masques.
C‘était un être, à part!
L’émotion pour fleuron,
Prisonnier de son art
Frêle tel un bourgeon.
Mais ce n’était qu’un fou
Le cœur battant sans triche,
Sans aucun garde-fou
Aux penchants qui défrichent.
Et vous n’avez rien su
De sa grande souffrance,
Et vous n’avez rien vu
Que rires et puis brillance.
Mais dans ces yeux en peine
Se préparait la trame
Zoom avant sur ses veines
Qui préjugeait du drame.
C’est en improvisant
Qu’au final il dit… « Bye »,
D’un clin d’œil, ravisant
Ses gestes qui défaillent.
Vous croyez tout comprendre?
Le nœud à sa ceinture,
Tout savoir, tout prétendre?
De sa vie que clôture,
Le « Coupez! » d’un Watson
Au banc du 7ème art.
Mais c’était Parkinson!
Le diable à ce rencart
Et deux prises suffirent.
Délassant ses phalanges,
Il hissa son sourire
Puis lui donna le change…
…
Il était remarquable
Mais sous tout cet humour
Du fond de son cartable
L’amour mendiait toujours...
Ce soir, je pense à lui
Là-haut faisant le pitre
Et son étoile luit
Dans le ciel de ma vitre…
Judy
En hommage à cet acteur incomparable: Robin Williams
l'émotion à fleur de peau
(décédé le 11 août 2014)
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