J'ai fait le tour des jardins de la terre
J'ai croisé des fleurs, vrai ou imaginaire
Et j'en ai vue une qui sort de l'ordinaire
Dans leur petit monde, leur foyer, leur serre
Dans un champ de rose en Martinique
J'en ai vue une tout bonnement fantastique
Autour de ses compères, elle resplendissait
Son rouge éclatant nous éblouissait
Ses voisines paraissait si fade à ses cotés
On avait absolument tout à lui envié
Pourtant, cette rose était fausse
Portant une douleur si lourde que grosse
Elle projetait une image qu'elle n'était pas
Une rouge coloré contre une noir déchiré
On voudrait la cueillir, la prendre contre soit
Pour la protégée du monde, la cajoler
Personne ne voyait que seul, la nuit
Elle fanait dans son coin, se rappelant sa vie
A tout ses gens qui on osé un jour la piétiner
Oubliant sa beauté qui voilait son besoin d'être aimer
Pourtant cette rose était très forte
Pour cacher aux yeux de tous qui elle était vraiment
Elle fanait mais jamais elle est morte
Par ce qu'a sa vie, il restait du temps
J'ai croisé des fleurs, vrai ou imaginaire
Et j'en ai vue une qui sort de l'ordinaire
Dans leur petit monde, leur foyer, leur serre
Dans un champ de rose en Martinique
J'en ai vue une tout bonnement fantastique
Autour de ses compères, elle resplendissait
Son rouge éclatant nous éblouissait
Ses voisines paraissait si fade à ses cotés
On avait absolument tout à lui envié
Pourtant, cette rose était fausse
Portant une douleur si lourde que grosse
Elle projetait une image qu'elle n'était pas
Une rouge coloré contre une noir déchiré
On voudrait la cueillir, la prendre contre soit
Pour la protégée du monde, la cajoler
Personne ne voyait que seul, la nuit
Elle fanait dans son coin, se rappelant sa vie
A tout ses gens qui on osé un jour la piétiner
Oubliant sa beauté qui voilait son besoin d'être aimer
Pourtant cette rose était très forte
Pour cacher aux yeux de tous qui elle était vraiment
Elle fanait mais jamais elle est morte
Par ce qu'a sa vie, il restait du temps