Ronge ! (pastiche ??)
J’ai, cette trêve dosée, qu’une femme m’a fait,
D’mon humour en bonheur me grise, mais l’honore,
L’instant tel un labeur au doux parfum d’aurore,
Comme me fendre à festoyer enchante les effets.
Oh ! Laissez-la sortir vers ces copains altiers,
Qui déboutonnent ses maux, infligeant un nouveau folklore,
Aromatisant les flots de belles fleurs encore,
Ainsi l’ennui s’incline pour être versifier.
D'une douche infidèle, pour l’élève au blason,
Les scores de ses mots enfièvrent les cloisons,
D’une conquête transie quand son corps abonde.
Réveiller les plaisirs comme un roi sous serment,
Plus chatoyant encore aux filles sans amant,
Et couvrir à nouveau les bannières des rondes.
J’ai, cette trêve dosée, qu’une femme m’a fait,
D’mon humour en bonheur me grise, mais l’honore,
L’instant tel un labeur au doux parfum d’aurore,
Comme me fendre à festoyer enchante les effets.
Oh ! Laissez-la sortir vers ces copains altiers,
Qui déboutonnent ses maux, infligeant un nouveau folklore,
Aromatisant les flots de belles fleurs encore,
Ainsi l’ennui s’incline pour être versifier.
D'une douche infidèle, pour l’élève au blason,
Les scores de ses mots enfièvrent les cloisons,
D’une conquête transie quand son corps abonde.
Réveiller les plaisirs comme un roi sous serment,
Plus chatoyant encore aux filles sans amant,
Et couvrir à nouveau les bannières des rondes.