A l'ancre de mes larmes, j'ai écris
Dans la douce tempête de mes nuits,
L'indélébile souffrance qui m’égare,
Seule, sous le poids de leur regards.
Comme le vent vient fouetter mon visage,
Comme les vagues s'échouent sur le rivage,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
A l'ancre de mon âme, j'écris
Dans l'aube de mon ennuie,
Les insouciants sourires célestes,
Qui de tout ce mal me délestent.
Comme le vent vient frôler ma peau,
Comme les vagues caressent mon dos,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
A l'ancre de mon cœur, j'écrirai
Dans la lueur du jour nacrée,
Tout les tendres désirs éternels,
S'évaporant au détour d'un ciel.
Comme le vent vient glisser entre mes doigts,
Comme les vagues voyagent entre mes bras,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
Dans la douce tempête de mes nuits,
L'indélébile souffrance qui m’égare,
Seule, sous le poids de leur regards.
Comme le vent vient fouetter mon visage,
Comme les vagues s'échouent sur le rivage,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
A l'ancre de mon âme, j'écris
Dans l'aube de mon ennuie,
Les insouciants sourires célestes,
Qui de tout ce mal me délestent.
Comme le vent vient frôler ma peau,
Comme les vagues caressent mon dos,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
A l'ancre de mon cœur, j'écrirai
Dans la lueur du jour nacrée,
Tout les tendres désirs éternels,
S'évaporant au détour d'un ciel.
Comme le vent vient glisser entre mes doigts,
Comme les vagues voyagent entre mes bras,
Mon corps se perd et lentement dérive,
Sur la rivière des émotions vives.
Bérénice.A
14h25 18/06/15
14h25 18/06/15
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