Rivière des rêves
Vers la rivière où coule un océan de rêves
Un coin de paradis, où tu vins à ton heure
T’échoir près de son lit dès que le jour se lève
Pour simple bagage, la porte de ton cœur.
Quand mon cœur à ton cœur, tu nouas de fils d’or
Ton front sur mon épaule, au lever du soleil
L’envie de me ceindre dans un accord à corps
Au feu de ta passion dans mon temple en éveil.
Tes mains à la dérive, aux courbes de ma chair,
S’ouvrent et s’effeuillent sur ma peau qui frémit
Au vent de ton souffle , qui s’envole dans l’air
Tel un cri qui l’on perd dans un grand stimuli.
Au cœur de l’étreinte, laissant sur mon plumage,
Une trainée de soupirs enchâssée de désirs,
S’émoussant dans le vent au velours d’un nuage
Qui s’ouvre sans ombrage au ciel de nos délires.
Quand grisée par l’émoi, bercée sur ta poitrine,
Au tambour de ton cœur qui palpite et se pâme
Dans les bras de l’errance en douceur je m’incline
Dans l’antre de ton sein à l’orée de ton âme.
Vers la rivière où coule un océan de rêves
Un coin de paradis, où tu vins à ton heure
T’échoir près de son lit dès que le jour se lève
Pour simple bagage, la porte de ton cœur.
Quand mon cœur à ton cœur, tu nouas de fils d’or
Ton front sur mon épaule, au lever du soleil
L’envie de me ceindre dans un accord à corps
Au feu de ta passion dans mon temple en éveil.
Tes mains à la dérive, aux courbes de ma chair,
S’ouvrent et s’effeuillent sur ma peau qui frémit
Au vent de ton souffle , qui s’envole dans l’air
Tel un cri qui l’on perd dans un grand stimuli.
Au cœur de l’étreinte, laissant sur mon plumage,
Une trainée de soupirs enchâssée de désirs,
S’émoussant dans le vent au velours d’un nuage
Qui s’ouvre sans ombrage au ciel de nos délires.
Quand grisée par l’émoi, bercée sur ta poitrine,
Au tambour de ton cœur qui palpite et se pâme
Dans les bras de l’errance en douceur je m’incline
Dans l’antre de ton sein à l’orée de ton âme.
Katy-Ann