Reviens
djebrale .
Reviens voir mes yeux mouillés
Comme un oiseau qui tombe du ciel,
Où les souvenirs caressent ses ailes tendues
Reviens, la saison n’est pas finie
Le printemps des âmes perdues renaît,
Trouvant le rayon bleu des nuits
À qui tu fuies mais il te reconnaît
Gardons à jamais devant nos miroirs
Le beau tableau de nos jours
Écrivons la tendresse de cette histoire
Le beau roman de notre amour
Ne cache pas ce qu’on dessine
Ranges les biens dans le salon
Remets le tableau de nos collines
Et signes le avec nos deux prénoms
Je vois tes yeux rêveurs dans mes pensées
Je te touche et je rêve en même moment
Car l’emprunte enfantin de ta vois brisé
Survie toujours dans mes bois l’instant
Je revois, tes cheveux noirs ou se cachent
Les secrets de ma tristesse
Et ta peau blanche ou s’attachent
Mes baisés et mes caresses
Toi l’enfant sans vois perdue dans les jungles
Écoute ma voix, suis le vent jusqu'au for
Tien ma main et griffes là avec tes angles
Je ne plaindrai pas ton cœur qui anime l'amour
Reviens pleurer la vie sur mes genoux
Fonds le jour dans le creux de mon épaule
Et renaît sur mes bras nus la nuit
Comme un oiseau qui tombe du ciel,
Où les souvenirs caressent ses ailes tendues
Reviens, la saison n’est pas finie
Le printemps des âmes perdues renaît,
Trouvant le rayon bleu des nuits
À qui tu fuies mais il te reconnaît
Gardons à jamais devant nos miroirs
Le beau tableau de nos jours
Écrivons la tendresse de cette histoire
Le beau roman de notre amour
Ne cache pas ce qu’on dessine
Ranges les biens dans le salon
Remets le tableau de nos collines
Et signes le avec nos deux prénoms
Je vois tes yeux rêveurs dans mes pensées
Je te touche et je rêve en même moment
Car l’emprunte enfantin de ta vois brisé
Survie toujours dans mes bois l’instant
Je revois, tes cheveux noirs ou se cachent
Les secrets de ma tristesse
Et ta peau blanche ou s’attachent
Mes baisés et mes caresses
Toi l’enfant sans vois perdue dans les jungles
Écoute ma voix, suis le vent jusqu'au for
Tien ma main et griffes là avec tes angles
Je ne plaindrai pas ton cœur qui anime l'amour
Reviens pleurer la vie sur mes genoux
Fonds le jour dans le creux de mon épaule
Et renaît sur mes bras nus la nuit
djebrale .