Rencontre inattendue
Un fictif en prose
En un quart d’heure
En un quart d’heure
Ecrire une rencontre indescriptible
Mais vous laissant l’âme troublée !
Mais vous laissant l’âme troublée !
Exercice écrit en 2009
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Chaque jour le même chemin
Menant au Jardin des Plantes,
Immense parterre rayonnant de fleurs
Et de couleurs, s’armait pour sensibiliser
Les Âmes sur ses coins tendres !
Menant au Jardin des Plantes,
Immense parterre rayonnant de fleurs
Et de couleurs, s’armait pour sensibiliser
Les Âmes sur ses coins tendres !
Quelques rencontres,
Toujours les mêmes,
Faisaient de notre corps
Un lien attachant avec l’autre soi-même,
Sans paroles, sans gestes,
Un sentiment qui passe !
Toujours les mêmes,
Faisaient de notre corps
Un lien attachant avec l’autre soi-même,
Sans paroles, sans gestes,
Un sentiment qui passe !
*
Le temps fait connaissance pour soi !
Je me sens attirée par un visage
Paraissant immuablement serein
Et le sourire faible au regard persistant !
Voilà que pressée,
Je laisse tomber mes clés
A l’arrivée précise de l’ombre reconnue
D’un jeune-homme ponctuel
Au passage journalier
Vers quatorze heure plein soleil en cette saison,
Je me sens attirée par un visage
Paraissant immuablement serein
Et le sourire faible au regard persistant !
Voilà que pressée,
Je laisse tomber mes clés
A l’arrivée précise de l’ombre reconnue
D’un jeune-homme ponctuel
Au passage journalier
Vers quatorze heure plein soleil en cette saison,
Et le soir avant le couchant
Où les allées-et-venues se font rares !
Mais combien beau ce coucher de soleil
Qui rase le sol de mille reflets de pensées !
Où les allées-et-venues se font rares !
Mais combien beau ce coucher de soleil
Qui rase le sol de mille reflets de pensées !
En ce début de l’après-midi
Sitôt la chute d’un tout d’un rien
Lâchant mes doigts,
Un genou plié et la main leste
Ramasse mon trousseau de clés !
J’entends d’une chaude voix :
« Voici votre trésor »
Sitôt la chute d’un tout d’un rien
Lâchant mes doigts,
Un genou plié et la main leste
Ramasse mon trousseau de clés !
J’entends d’une chaude voix :
« Voici votre trésor »
*
Les yeux dans les yeux parlaient dehors
Entre cils applaudissant le muet saisi
Qui ne pouvait s’entendre
Mais accompagné d’un sourire !
Je ne me reconnais plus !
Entre cils applaudissant le muet saisi
Qui ne pouvait s’entendre
Mais accompagné d’un sourire !
Je ne me reconnais plus !
Mon âme est dehors ne m’appartenant plus !
Pourquoi ce comportement m’étreint
Dès que mon regard rencontre le sien,
Alors que le croiser en l’ignorant dès à sa portée ?
Pourquoi ce comportement m’étreint
Dès que mon regard rencontre le sien,
Alors que le croiser en l’ignorant dès à sa portée ?
Jamais encore mes sentiments dépassaient
Le rouge de mes joues
Et sur mes lèvres troublées restant tremblantes !
Le rouge de mes joues
Et sur mes lèvres troublées restant tremblantes !
Je savourais ce moment, ces jours indispensables
Pour garder en mes yeux
L’instant merveilleux !
Troublant mon Âme
En cet ange passant!
Pour garder en mes yeux
L’instant merveilleux !
Troublant mon Âme
En cet ange passant!
Sous l’abat-jour
D’un réverbère faisant discours !
Sur ce chemin semait les perles d’une amitié
Et pourquoi pas celles de l’amour !
Poly, ce 28 juin 2020
D’un réverbère faisant discours !
Sur ce chemin semait les perles d’une amitié
Et pourquoi pas celles de l’amour !
Poly, ce 28 juin 2020