Remerciements
De mes peines ces quelques vers sont nés,
Qu’ils soient proches ou bien amis,
De mes larmes je me suis inspiré,
Quand mon bonheur fut pire ennemi.
Poète amical ou bien futé scientifique,
D’un talent que nul ne connait,
C’est de lui que m’inspirent les colchiques,
Inspirant le bonheur et la paix.
A mes amis francs et fidèles,
A qui je dois tout,
Qui m’apprennent que la vie est belle,
Même quand on n’a pas tout.
A mes lecteurs vils ou coquins,
Qui lisent mes maux,
Qui sans eux je serais rien,
Le simple mélange de mots.
A mes ennemis qui me tranchent le dos,
Malgré mes efforts,
C’est à vous que je dois mes maux,
Car si on écrit c’est qu’on est moins fort,
A mes larmes quotidiennes,
Qui font de moi un homme à part,
Qui forgent en moi mes peines,
Qui m’approchent d’un au revoir.
A mon amour éternel,
Je dédie ces quelques vers,
Ô Sara qui m’apprend que la vie est belle,
Dans ses bras, sur cette terre.