Hors concours
Regard...précieux joyau....
J'ai la souvenance d'un regard chaleureux,
Il a franchi la barrière de mon âme
Révélant mes secrets enfouis, ceux d'une femme,
Subjuguée je fus, par cet éclair amoureux...
C'est fou, la puissance émanant de cet organe,
Clin d’œil que poudre l'or, torride et fulgurant,
Étrange pouvoir issu d'ailleurs, conquérant,
Humanoïde faisceau, douceur océane...
A lui seul, quelle merveille ce mot regard !
Il thésaurise les images de nos vies,
Exacerbe nos sens, dévoile nos envies,
Mais trop souvent, devant l'horreur, devient hagard.
J'ai conscience d'avoir une grande chance,
Quand d'autres erres naissent avec handicap,
Injustice ! Comment peut-on tenir le cap ?
Privé de vue, guide suprême dès l'enfance.
Merci Dieu pour cet inestimable cadeau,
J'ai découvert du monde, toutes les facettes,
Puis empli ma mémoire de mille fleurettes,
Riant du malheur s'agrippant à mon radeau...
" Il y a deux regards : Le regard du corps et le regard de l'âme.
Le regard du corps peut oublier parfois, mais celui de l'âme se souvient toujours "
Alexandre DUMAS
Regard...précieux joyau....
J'ai la souvenance d'un regard chaleureux,
Il a franchi la barrière de mon âme
Révélant mes secrets enfouis, ceux d'une femme,
Subjuguée je fus, par cet éclair amoureux...
C'est fou, la puissance émanant de cet organe,
Clin d’œil que poudre l'or, torride et fulgurant,
Étrange pouvoir issu d'ailleurs, conquérant,
Humanoïde faisceau, douceur océane...
A lui seul, quelle merveille ce mot regard !
Il thésaurise les images de nos vies,
Exacerbe nos sens, dévoile nos envies,
Mais trop souvent, devant l'horreur, devient hagard.
J'ai conscience d'avoir une grande chance,
Quand d'autres erres naissent avec handicap,
Injustice ! Comment peut-on tenir le cap ?
Privé de vue, guide suprême dès l'enfance.
Merci Dieu pour cet inestimable cadeau,
J'ai découvert du monde, toutes les facettes,
Puis empli ma mémoire de mille fleurettes,
Riant du malheur s'agrippant à mon radeau...
" Il y a deux regards : Le regard du corps et le regard de l'âme.
Le regard du corps peut oublier parfois, mais celui de l'âme se souvient toujours "
Alexandre DUMAS
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