Putain ! Je t'anime...
Et je peste là, ces demains limpides, mon bonheur à mi-temps,
L’élève qui ne veut pas annoncer ses vieux maux,
Un con comme moi, naguère entre l’âne et le Sultan,
Pour qui ne pas voire et mériter mon coup de chapeau?
Survenus en tourmente, mes mots ont fait notre clan,
Quels diamètres boueux, peux-t-on offrir quand on tombe de haut ?
Est-ce le dieu qui est ta foi qui sépare les amants,
Où les sous à venir qui reculent et développent de fichu panneau.
Pour qui entraîner les rebords quand l'humour est présent ?
Je suis douché, veule, sans candeur sous mon beau chapeau,
Celui qui grogne au delà des fous, au delà de l’instant,
Avide est mon dessin de mes envies entrecoupées de bons mots,
Et je te vends en vain, je suis tout pédant,
Mais mon décor est en froid de tes absences, aussitôt,
Ta trêve est océan, un fiel, elle gâche et nique mon cerveau,
Celui d'un pauvre con, damné, privé de l'humour d'avant.
Et tu détiens mes armes, puritain, c'est moi l’angelot,
Qui hurle et dégorge, en bon maître encore indolent,
Ho, ton vieux ! N’élevez pas sa toile, son dernier radeau,
Qui l’asperge d’un bonheur qui se meut par lui, ses boniments.
Car, je détends le boucher au réveil, il me coûte souvent,
Tu peux ces jours, sous tonnelle où sous voile, me sortir du landau,
Par les travers de ma brune, de ses remords, ha, m’aguichant,
Rapporteur des filles qui dévient, tu feras toujours la dame au cœur beau.
Car, odieux, devant babiller pour enlever ses tourments,
Je ne peux détaler sans empêcher la rouille mon cerceau,
Car je relis de tes zèbres, tu feras la faim aux documents,
Tu m’apporte le fond, sans l’ennui, mais le vol de tes mots…
Et je peste là, ces demains limpides, mon bonheur à mi-temps,
L’élève qui ne veut pas annoncer ses vieux maux,
Un con comme moi, naguère entre l’âne et le Sultan,
Pour qui ne pas voire et mériter mon coup de chapeau?
Survenus en tourmente, mes mots ont fait notre clan,
Quels diamètres boueux, peux-t-on offrir quand on tombe de haut ?
Est-ce le dieu qui est ta foi qui sépare les amants,
Où les sous à venir qui reculent et développent de fichu panneau.
Pour qui entraîner les rebords quand l'humour est présent ?
Je suis douché, veule, sans candeur sous mon beau chapeau,
Celui qui grogne au delà des fous, au delà de l’instant,
Avide est mon dessin de mes envies entrecoupées de bons mots,
Et je te vends en vain, je suis tout pédant,
Mais mon décor est en froid de tes absences, aussitôt,
Ta trêve est océan, un fiel, elle gâche et nique mon cerveau,
Celui d'un pauvre con, damné, privé de l'humour d'avant.
Et tu détiens mes armes, puritain, c'est moi l’angelot,
Qui hurle et dégorge, en bon maître encore indolent,
Ho, ton vieux ! N’élevez pas sa toile, son dernier radeau,
Qui l’asperge d’un bonheur qui se meut par lui, ses boniments.
Car, je détends le boucher au réveil, il me coûte souvent,
Tu peux ces jours, sous tonnelle où sous voile, me sortir du landau,
Par les travers de ma brune, de ses remords, ha, m’aguichant,
Rapporteur des filles qui dévient, tu feras toujours la dame au cœur beau.
Car, odieux, devant babiller pour enlever ses tourments,
Je ne peux détaler sans empêcher la rouille mon cerceau,
Car je relis de tes zèbres, tu feras la faim aux documents,
Tu m’apporte le fond, sans l’ennui, mais le vol de tes mots…