Le con qui boite poétique,
La nuit l’expose à ses plus gourdes fariboles
Seul ma sœur se débat pour vendre, et sous venir,
J’entaille de ma boîte poétique, revient comme une mer de babioles,
Une grande chanceuse est l’étoile qui détourne et survole mes loisirs.
Il me parvient, ce cadeau bien présentable,
Celui qui gerce tant de jours et mon destin,
Elle conte mes dires et décompte mes vagues,
Quand mon arôme dérouille tous ses chagrins.
Elle a l'avantage et j’en présentes l’intrigue,
Son contour émerveille tout mon étui de tendresse,
Mais des faits, tu t’enfuis en soie douce d’une figue,
Vers les vieux en chanteurs qui carillonnent et compressent.
Je décèle tes regrets, tes pensées, tes peurs enfumées,
Tout ce qui s'enfuit du profond de toi, peste à enlever,
Les riens les moins soucieux pour fait d'humour, d’écrits moroses,
Tout ce que je prédit toujours, pour que l’ami un jour en impose.
La nuit l’expose à ses plus gourdes fariboles
Seul ma sœur se débat pour vendre, et sous venir,
J’entaille de ma boîte poétique, revient comme une mer de babioles,
Une grande chanceuse est l’étoile qui détourne et survole mes loisirs.
Il me parvient, ce cadeau bien présentable,
Celui qui gerce tant de jours et mon destin,
Elle conte mes dires et décompte mes vagues,
Quand mon arôme dérouille tous ses chagrins.
Elle a l'avantage et j’en présentes l’intrigue,
Son contour émerveille tout mon étui de tendresse,
Mais des faits, tu t’enfuis en soie douce d’une figue,
Vers les vieux en chanteurs qui carillonnent et compressent.
Je décèle tes regrets, tes pensées, tes peurs enfumées,
Tout ce qui s'enfuit du profond de toi, peste à enlever,
Les riens les moins soucieux pour fait d'humour, d’écrits moroses,
Tout ce que je prédit toujours, pour que l’ami un jour en impose.