Avez-vous besoin d'humour Madame ?
J'ai couvert ses soupières, oh, si je lance,
Décroisé ses bas, face au bide de mes mots,
Fait de mes lignes en choix qu’endure ta chance,
Ce n'est qu'une goutte qui déchaîne tes maux.
J'ai désigné ta tendresse imagée de soupires,
Créé l’envie pour ceux sans dépenser mes loisirs,
C'est la science des aînés qui veulent choir en bonheur,
Je pourrais sans que ta chaîne ici s’égare comme du beurre.
M'étendre sans maudire que l’envie revienne,
Et lire toutes les fleurs qui aussi lui parviennent,
Qu'exporte le miel et nous tendrons vers le grand âge,
Dans le peu de nos débats l'un vers l'autre et chantons notre ouvrage.
Tout peut s’échanger en anguilles que démontre l’instant,
Toute sempiternelle envie peut faire dévier et chavirer les savants,
Ma devanture recommence par des gouttes de sueur,
Elles sont la puissance de mes écrits que je dépensais en pleurs.
J'ai couvert ses soupières, oh, si je lance,
Décroisé ses bas, face au bide de mes mots,
Fait de mes lignes en choix qu’endure ta chance,
Ce n'est qu'une goutte qui déchaîne tes maux.
J'ai désigné ta tendresse imagée de soupires,
Créé l’envie pour ceux sans dépenser mes loisirs,
C'est la science des aînés qui veulent choir en bonheur,
Je pourrais sans que ta chaîne ici s’égare comme du beurre.
M'étendre sans maudire que l’envie revienne,
Et lire toutes les fleurs qui aussi lui parviennent,
Qu'exporte le miel et nous tendrons vers le grand âge,
Dans le peu de nos débats l'un vers l'autre et chantons notre ouvrage.
Tout peut s’échanger en anguilles que démontre l’instant,
Toute sempiternelle envie peut faire dévier et chavirer les savants,
Ma devanture recommence par des gouttes de sueur,
Elles sont la puissance de mes écrits que je dépensais en pleurs.