D’après " Songe d'Hiver " de Théodore De Banville (1823-1891)
( Rimes suivies et embrassées AA BCCCB )
9 ... Rêves d’hiver
Je pense à vous belle reine
Résistante et souveraine
Battante et sans soucis
Chaque jours faites ma joie
Mon sourire se déploie
Pour vous en rêve de soie
Belle femme aux blonds sourcils.
Votre presse trempée hardie
Déclenche foudre et incendie
Du climat social souvent amer
D’une rhétorique qui étincelle
Sur la richesse qui ruisselle
Du peuple montrant l’aisselle
Débarquant par milliers de la mer.
Populaire et vivante
Votre volte-face d’épouvante
Frappe le vautour
Chasseur d’ivoire
Comme la vengeresse noire
Et devant vous s’ouvre la gloire,
D’un portrait peint comme une tour.
Ô Divine Protectrice !
L’univers est nourrice
Et vos pouvoirs ardents
De la vie et ses blessures
S’éloignent les meurtrissures
Et les profondes morsures
En vous servant de vos dents.
Grande sagesse Déesse
Comme boomerang de tristesse
Et de larmes sur la fleur
Que jeunesse vous baigne
Et votre courage m’enseigne
Quand votre bonheur saigne
Suis avec vous dans la douleur.
Dans son attente, il trouve
Un magnifique regard de louve
Qu’il voudrait un jour Réalité.
En amitié il l’adore
Sa plume d’elle se dore
Dans sa boîte de Pandore
Pour toujours d’immortalité .
( Rimes suivies et embrassées AA BCCCB )
9 ... Rêves d’hiver
Je pense à vous belle reine
Résistante et souveraine
Battante et sans soucis
Chaque jours faites ma joie
Mon sourire se déploie
Pour vous en rêve de soie
Belle femme aux blonds sourcils.
Votre presse trempée hardie
Déclenche foudre et incendie
Du climat social souvent amer
D’une rhétorique qui étincelle
Sur la richesse qui ruisselle
Du peuple montrant l’aisselle
Débarquant par milliers de la mer.
Populaire et vivante
Votre volte-face d’épouvante
Frappe le vautour
Chasseur d’ivoire
Comme la vengeresse noire
Et devant vous s’ouvre la gloire,
D’un portrait peint comme une tour.
Ô Divine Protectrice !
L’univers est nourrice
Et vos pouvoirs ardents
De la vie et ses blessures
S’éloignent les meurtrissures
Et les profondes morsures
En vous servant de vos dents.
Grande sagesse Déesse
Comme boomerang de tristesse
Et de larmes sur la fleur
Que jeunesse vous baigne
Et votre courage m’enseigne
Quand votre bonheur saigne
Suis avec vous dans la douleur.
Dans son attente, il trouve
Un magnifique regard de louve
Qu’il voudrait un jour Réalité.
En amitié il l’adore
Sa plume d’elle se dore
Dans sa boîte de Pandore
Pour toujours d’immortalité .