Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web.
Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.

  • Visiteur, merci de ne pas poster plus de 5 poèmes par jour. Ceci dans le but d'améliorer la visibilité du site.

Rêverie poétique

#1
Calme et pensant, presque assoupi sur un bureaux,
Mes yeux bleus perdus, vers le cieux rêveur s’envolent
Parmi les folles danses et mélodies d'oiseaux,
Qui airent fière dans l'air, veillant sur le sol.

Quand m’enveloppe alors, doux et frais voile blanc
Un nuage voyageant. Le bohème des cieux,
Flottant le long du long fleuve des dieux d'antan,
Rassemblant ces larmes pour un dernier adieu.

Puis je me suis envolé, bien plus haut encore.
Là où les étoiles flambent autant que Râ.
Là où tout semblent insignifiant, où la mort
A des abords moins sinistre que lors du glas.

J’ai visité tout l'infini et même plus.
Les vieux dieux m'ont accueilli dans leur royaume,
J' ais vu ce que l'homme de tout les temps a cru:
L' antique mystère mystique en sa pleine forme.

Un peau-rouge m'a dit que le rêve assagit
Mais un cri strident endormi ma sagesse .
Le rêve et la mort me font ressentir la vie
Quand Venus dans mon vin, viens en vain, sans déesse.