Les mots sont indélébiles, tel que les actes posés, fracas, fissure, ces blessures insoupçonnées, tangible et palpables après toutes ces années à le nier, à le réprimer, à le cacher derrière tout un tas d'artifices inimaginés, un regard fuyant, devant mais pleure incessant, sentiment à fleur de peau, douleur incandescente, ces hurlements de terreur au creux de mon coeur, ordonnant que tout cesse maintenant, que je retrouve la paix et ma tranquillité d'antan, que je réalise ce vieux rêve enterré, d'être au moins heureux une fois, deux fois, le nombre de fois espéré, laisser derrière, tous ces cauchemars exagérés, souffler et me reposé pour l'éternité, pour ainsi retrouver ma sérénité, ce sourire voler, un visage jovial mainte est mainte fois effacée, ouvrir de nouveau les yeux le matin et ne plus souhaité disparaître, ne plus souffrir de mon mal-être, ne plus me torturé avec ces souvenirs du passé, aller de l'avant pour de bon, ainsi dire au revoir à tout ce malheur, à cette anxiété destructrice, cette prédatrice qui me rend triste, me fais perdre la tête pour un oui ou pour un non.
Blue.
Blue.